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4 juillet 2013 4 04 /07 /juillet /2013 11:45
2013 CH43Mag NF mod
 
 n° 13/413 du 08 juillet 2013
 

 Et voila que les modèles presse viennent à se bousculer devant moi. Bouleversant du coup le planning de présentation des modèles que j’avais trouvés pour pallier leur carence. Carence qui s’est avérée passagère, pour le moment du moins. Actualité oblige, je diffère de quelques numéros la présentation des modèles de service dans les pays de l’Est pour vous présenter aujourd’hui deux modèles américains.

 Comme je l’ai écrit la semaine dernière, ces deux modèles semblent provenir d’une prochaine collection. Collection qui devrait faire suite au test réalisé il y a quelques mois, celui des Mythiques voitures américaines. Mais vu le (bon) niveau de leur finition, très proche de celle de certains modèles vendus en boutiques, je ne pense pas que le prix au numéro soit encore de 12.99 €. J’ai bien peur que l’on soit plus proche de 14.99 € après les prix d’attaque. Mais à ce niveau la qualité de cette finition devra se retrouver sur l’ensemble des modèles proposés. En tout cas, un début prometteur, si je ne fais pas fausse route.

 
 Modèles presse
 

BUICK Riviera Boattail coupé de 1972

Ixo/XXX – collection des Mythiques voitures américaines ???, n° …

 

Dans le n° 366 de CH43, daté du 13 août 2012, je vous ai déjà présenté  ce coupé, mais proposé en boutiques sous le label de PremiumX. Aujourd’hui il s’agit d’un modèle issu d’une collection presse dont la finition est juste un tout petit peu en dessous. Nous retrouvons donc les mêmes lignes et volumes aussi impressionnants de cette Riviera. Rappelons que celle-ci mesurait 5.545 m de longueur, 2.032 m de largeur et était haute de 1.372 m ! La livrée bordeaux à pavillon blanc cassé a laissé place ici à une livrée or. Et si les chromes courant sur la carrosserie sont représentés par des traits de peinture alu, le rétroviseur extérieur et les poignées de portières sont constitués par des pièces rapportées et chromées. A noter l’absence de toute représentation des essuie-glace à la base du pare-brise, ceux-ci étant dissimulés sur la plage, restée vide. L’immense capot moteur est correctement nervuré en son centre, tout comme le pavillon et le couvercle du coffre. La proue arbore une belle calandre en V affichant sur sa gauche l’écusson du modèle. Quatre optiques circulaires serties dans des enjoliveurs carrés l’encadrent. Le pare-chocs épouse lui aussi la forme d’un V évasé et surplombe quatre optiques additionnelles. En plus des feux de gabarit, les ailes avant arborent, en leur partie inférieure, le monogramme phototamponné « Riviera ». Lequel monogramme figure aussi sur le couvercle du coffre au-dessus des feux arrière droits. Feux qui sont peints. Cette voiture a conservé les belles jantes en étoile et des pneus bien sculptés et à flanc blanc. Le pare-chocs arrière, entièrement chromé, fait office de bouclier et est lui aussi en forme de V évasé. L’immatriculation arrière est bien décalée côté gauche. Immatriculation dans l’Etat de l’Illinois. Le mobilier intérieur est caramel et composé de deux larges banquettes, celle de devant étant équipée de dossiers séparés avec large accoudoir central pouvant les compléter pour accueillir un éventuel troisième occupant à l’avant. Les contreportes reçoivent une décoration imitation bois. A noter que le dessin particulier de la planche de bord de ce modèle a été très bien restitué et présente bien deux arcs de cercle en face des deux dossiers. Permettant d’afficher les nombreux cadrans du tableau de bord en arc de cercle derrière un volant à trois branches. Un large et mince rétroviseur intérieur pend devant le pare-brise. Le soubassement est peu détaillé, mettant en évidence le tracé des deux lignes d’échappement. 
4781GR Buick Riviera or 
 

PLYMOUTH Savoy de 1959

Ixo/XXX – collection des Mythiques voitures américaines ???, n° …

 

Dans le n° 10/410 de CH43 Mag du 10 juin dernier, je vous ai présenté la première version de cette Savoy diffusée en France, sous la forme d’un taxi, alors qu’elle était déjà connue des collectionneurs britanniques pour leur avoir été proposée dans la collection James Bond sous le n° 123 dans une livrée noire. Cette Savoy de 1959, une des dernières représentantes de l’exubérance américaine en matière automobile, nous est aujourd’hui présentée sous une livrée civile, bicolore, bleu clair à pavillon blanc. Cette fois ci, outre le fait que les lignes et volumes de l’original se retrouvent très bien restitués, les nombreux monogrammes disposés un peu partout sur la vraie sont bel et bien présents, phototamponnés. Ce qui n’était pas le cas pour le taxi. L’ensemble ne manque pas de séduire de par ses grandes dimensions. Je disais donc que l’ensemble ne laissait pas indifférent de par ses dimensions importantes. J’ajouterai qu’y contribue aussi sa présentation avec deux essuie-glaces antagonistes chromés rapportés placés à la base du pare-brise et accompagnés d’un rétroviseur extérieur, lui aussi chromé. Tout comme, d’ailleurs, les poignées des portières. C’est rare pour un modèle presse. La grille de la large calandre est très bien reproduite. Elle est encadrée par des doubles optiques rapportées. A signaler que sur ce modèle, les clignotants, situés sur les retours d’ailes, sous les optiques principales, ont bien été reproduits, même si cela est un peu difficile à percevoir au premier coup d’œil. Les roues sont entièrement chromées. Le dessin de l’enjoliveur central est bien conique, comme sur la vraie. Les feux arrière ne sont que peints. Elle arbore une immatriculation dans l’Etat de l’Orégon en 1959. Le mobilier intérieur est entièrement blanc, avec des accessoires de contreportes soulignés d’un trait de peinture alu. La planche de bord est très détaillée et affiche le tableau de bord trapézoïdal derrière le volant. Le soubassement est un peu détaillé. 
4780GR Plymouth Savoy bleue 
 

CITROËN 2cv6 Dolly et caravane Ailette

Eligor/Hachette/AutoPlus – collection des 2cv Citroën, n° 44

 

Pourquoi suis-je plus attiré par les modèles simples que par ceux plus ou moins customisés ? Toujours est-il que cette 2cv6 Dolly et cette caravane Ailette (déjà vue attelée à une fourgonnette, cadeau aux abonnés) séduisent l’œil dans leur livrée blanc et framboise. Le nouveau moule de la 2cv y est certainement pour grand-chose. Tout comme le soin apporté à la décoration. A noter la décoration particulière des jantes à la circonférence arborant une multitude de petits ronds noirs (jantes perforées ?) Le mobilier intérieur et le soubassement sont habituels. La petite caravane a toujours son pavillon fonctionnel et relevable alors que sa signalisation lumineuse est bien mise en valeur. 
4784GR Citroen 2cv6 Dolly b 
 

FERRARI 250GT Berlinetta Tour de France

Ixo/Hachette – collection des Ferrari GT, n°

 

Aujourd’hui annoncé comme 250GT Berlinetta Tour de France, ce modèle nous fut proposé en son temps dans la collection Ferrari diffusée par les éditions Fabbri (n° 46)  comme étant une 250GT Berlinetta Scaglietti, du nom du carrossier qui l’a habillée (cf. le n° 64 de Collec’Hebdo 43 daté du 30 octobre 2006) sous cette même livrée argent. Sept ans plus tard, le commentaire ne changera pas. Voici donc ce que j’écrivais alors et qui s’applique à ce modèle, à la virgule près : « Réduite par Ixo cette 250 GT carrossée par Sergio Scaglietti reproduit assez bien les lignes et volumes de l’original très allongé. L’avant est saisissant de par ce capot très long à l’ouverture rejetée à l’arrière et maintenu par deux sécurités. Le pare-chocs paraît plus symbolique qu’efficace vu le niveau où il est implanté. De profil, les rétroviseurs obus n’étaient pas de série. Les roues fils sont assez jolies. L’arrière met en évidence la quadruple sortie d’échappement chromée et le bouchon du réservoir. Par contre les feux arrière manquent de finesse et il manque la poignée d’ouverture du coffre sous l’emplacement de la plaque d’immatriculation. L’intérieur noir, accueille un assez joli volant devant un tableau de bord aux cadrans reproduits. Le vieux démon d’Ixo a encore frappé. Si vous voulez un rétroviseur intérieur, il vous faudra le déplier du pavillon. Le soubassement est un peu détaillé. » Et oui, vous avez bien lu, le rétroviseur est encore plaqué contre le pavillon sept ans après !  Par contre, jolis volant sport et levier de vitesse chromé à pommeau marron. 
4783GR Ferrari 250GT Berlinetta gri 
 

FIAT 500 Giardiniera de 1967

Ixo/Vadis – collection italienne des Veicoli pubblicitari d’epoca, n° 14

 

Qu’elle est riquiqui cette 500 Giardiniera… mais pourtant bien proportionnée et plus réaliste que son ainée signée Norev, presqu’aussi âgée que la vrai il faut bien en convenir. Tout ça pour dire que ses petites dimensions ne sont plus d’actualité aujourd’hui. Il n’y a qu’à voir la 500L ! Toujours est-il que les lignes et volumes de l’original se retrouvent facilement sous cette livrée blanche. Pourtant je lui reprocherais d’avoir des vitrages latéraux manquant de hauteur. A cause d’un pavillon descendant trop bas sur les côtés. Pour le reste, la face avant est une des plus réussie que je connaisse.  Les roues sont d’un diamètre réaliste mais je trouve les pneus un peu trop larges.  Les feux arrière sont métalliques et peints.  La capote du pavillon est bien soutenue par deux traverses. A noter que les portières sont bien du type « suicide », s’ouvrant vers l’arrière. Bien que s’agissant d’un modèle utilitaire, le mobilier intérieur, entièrement noir, comporte bien une banquette à l’arrière. Le petit tableau de bord rond est bien représenté derrière le volant. Le soubassement est un peu détaillé. 
4782GR Fiat 500 Giardiniera 
 
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Published by Trebor Yles - dans Modèles presses diverses