29 janvier 2015
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n° 25/470 du 02 février 2015 |
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CITROËN type U23 dépanneuse Ixo/Altaya – collection des Camions d’autrefois, n° 122 Tiens, un revenant. En effet cette dépanneuse de type U23 n’est pas inédite, puisqu’elle reprend, à l’exception de la bâche, le moule de celle proposée en n° 01 de la collection des Véhicules du garage moderne, n° HS01 (cf. le n° 24/424 de l’alors CH43 Mag, daté du 23 septembre 2013). L’ensemble est fort plaisant à regarder dans sa livrée rouge et blanche. Notez que si vous avez une bâche récupérée sur la première dépanneuse, vous pourrez la placée sur celle-ci car les trous sont toujours là pour la fixer. La partie avant est très réaliste, même si les petits essuie-glaces jurent par leur rusticité. La calandre est fidèle en étant redevenue rectangulaire et complète. Le contenu du plateau est complété par un cône de Lubeck. Par contre il n’y a plus le petit panonceau bleu à triangle jaune annonçant une remorque. Et je comprends toujours pas, le câble du treuil est coupé et ne rejoint par le crochet d’arrimage. A l’intérieur de la cabine, la large banquette est marron et la planche de bord détaillée. Les accessoires des contreportes sont soulignés d’un trait de peinture alu. Le châssis est standard. |
CITROËN DS21 Pallas Ixo/Hachette/AutoPlus – collection des Classiques de l’automobile, n° 130 et dernier. Cette 21 Pallas reprend le moule que nous connaissons et qui a servi à nous proposer cette voiture sous la forme d’un taxi parisien dans la collection des Taxis du monde, n° 32 (cf. le n° 33/433 de l’alors CH43 Mag, daté du 25 novembre 2013). Je reprendrai donc la présentation faite alors en m’étonnant à nouveau que l’équipe des graveurs d’Ixo ne soit pas intervenu pour supprimer l’aberration signalée en son temps. En effet, pourquoi avoir affublé cette DS d’encadrements de vitrages ? Ils n’ont jamais vu de DS ? Pourtant c’était l’une des caractéristiques de ce modèle, d’en être totalement dépourvu. Et je ne parle pas des fixations des portières… Cela me rappelle un accrochage vu à Lyon en 1971. Alors que j’effectuais mon service militaire, en fin d’après-midi je faisais du stop pour rentrer j’ai moi, sous une trémie proche du parc de la Tête d’or. Une voiture s’arrête pour me prendre, survient une Goélette plateau qui se déporte sur sa gauche pour la dépasser. Se faisant, elle accroche le côté droit d’une DS19, et lui dépose les deux portières sur la chaussée. Comme au cinéma. Sauf que cette fois-là, ce n’en était pas. Heureusement il n’y avait que le conducteur à bord de la DS19. Bon, mais revenons à cette DS21. Outre cette grossière erreur, nous retrouvons malgré tout les lignes générales et les volumes de l’original. Même, si pour moi, ce n’est pas le meilleur moule réalisé, il s’en faut de beaucoup tant il y a d’interprétations. J’en veux notamment pour preuve l’arrondi trop prononcé de tablier avant qui descend trop bas et la forme approximative des butoirs en caoutchouc. Ajoutons le non respect des dimensions des vitrages ou encore la forme des panneaux de custode. Sans parler aussi de l’hypertrophie des catadioptres placés à l’extrémité des ailes arrière devenus enfin rouges. Et non plus orange, comme sur le taxi. Le dessin des jantes, entièrement recouvertes par leurs enjoliveurs chromés, est acceptable. Les feux arrière sont rapportés, en plastique rouge. Et il y a une double sortie d’échappement chromée. Les chevrons et le monogramme DS21 placés sur le couvercle du coffre sont phototamponnés et dorés. Le mobilier intérieur est entièrement noir. Le soubassement est peu détaillé. Une question pour terminer : pourquoi ce pavillon noir ? A oublier au plus vite. |
MATRA Jet 5 de 1964 Ixo/Altaya – collection des Voitures françaises d’autrefois, n° 76 |
SIMCA Cargo de 1956 Ixo/Altaya – collection des Camions d’autrefois, n° 123 Jamais deux sans trois… Voici donc la troisième version du Cargo Simca à cabine intégrale, après le fourgon Bailly et le plateau l’Air Liquide. Cette fois-ci, sous la forme d’un camion plateau bâché dépourvu de publicité et de plaque bleue indiquant le département d’immatriculation. Nous retrouvons donc la cabine déjà vue qui arbore à l’avant l’écusson de la ville de Poissy au-dessus de la calandre. Calandre où toutes les ouvertures sont noires. Par contre les essuie-glaces sont toujours gravés sur les deux éléments du pare-brise et il manque encore les cartouches gravés du monogramme Cargo sur les portières. Nous retrouvons les rétroviseurs latéraux du fourgon Bailly. Une bâche, inédite semble-t-il recouvre un vaste plateau. L’arrière est classique avec des retombées supportant immatriculation et feux arrière. Feux qui ne sont que gravés et peints. Le mobilier de la cabine est assorti à la carrosserie. Ce qui met bien en valeur l’imposant coffrage au-dessus du moteur et les deux sièges passagers. Le châssis est standard. |
GMC PD 4501 Super Scenicruiser Ixo/Hachette – collection des Autobus et autocars du monde, n° 03 Après deux modèles français, voici un étranger, que l’on a vu dans moult films américains. Et pour cause, un Super Scenicruiser de 48 places aux célèbres couleurs de Greyhound… avec l’image d’un lévrier (d’où la marque). Ses lignes, volumes et présentation, sont très réalistes. Y compris ses grands essuie-glaces à pantographes rapportés et ses rétroviseurs extérieurs. A noter que ce modèle arbore bien les six plaques d’immatriculation, correspondantes aux six Etats que cet autocar traverse pour assurer son service. Nombre de feux sont rapportés et accompagnés de chromes. Les dix roues sont réalistes. Le pavillon comporte quatre puits de lumière. Le mobilier intérieur composé des sièges, mais aussi des quelques marches permettant d’accéder à la partie surélevée, et des sanitaires, est entièrement noir. Ici encore, il n’y a aucune représentation des cadrans du tableau de bord, ni aucun habillage intérieur des parois. Le soubassement est détaillé. |
Published by Trebor Yles
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