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Encore un ? Le voici |
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Dresden (RDA) |
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Encore un ? Le voici |
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Dresden (RDA) |
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n° 22/467 du 22 décembre 2014 |
page 1/2 |
Cette fois-ci elle est arrivée
la collection des Autobus et autocars du monde
J'ai trouvé le premier numéro ce vendredi 22 décembre (des photos en page 2 d'ici la fin de la journée)
Pour vous mettre l'eau à la bouche (publicité gratuite) |
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Passez un bon et joyeux Noël, et rendez-vous chez votre pressier à partir du lendemain. |
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n° 29/429 du 28 octobre 2013 |
page 2/2 |
Spécial: Collection qui ne sortira pas |
Je n’ai pu résister plus longtemps à vous les (re)présenter. Dans le n° 13/413 de CH43 Mag, daté du 08 juillet 2013 je vous ai présenté deux voitures qui auraient pu faire partie d’une nouvelle collection dédiée aux voitures américaines d’autrefois. Et même si le lancement d’une telle collection a été démenti, je suis aujourd’hui en mesure de vous en présenter deux autres. De quoi nous mettre un peu plus l’eau à la bouche, tant le degré de finition de ces deux modèles est, une fois encore, très proche de celle d’un modèle boutiques. Toutefois, il y a parfois un petit hic qui fait que je ne suis pas totalement satisfait. J’y reviendrai le moment venu. |
BUICK Riviera Boattail coupé de 1972 Ixo/XXX – Collection qui ne sortira pas, n° … Dans le n° 366 de CH43, daté du 13 août 2012, je vous ai déjà présenté ce coupé, mais proposé en boutiques sous le label de PremiumX. Aujourd’hui il s’agit d’un modèle issu d’une collection presse dont la finition est juste un tout petit peu en dessous. Nous retrouvons donc les mêmes lignes et volumes aussi impressionnants de cette Riviera. Rappelons que celle-ci mesurait 5.545 m de longueur, 2.032 m de largeur et était haute de 1.372 m ! La livrée bordeaux à pavillon blanc cassé a laissé place ici à une livrée or. Et si les chromes courant sur la carrosserie sont représentés par des traits de peinture alu, le rétroviseur extérieur et les poignées de portières sont constitués par des pièces rapportées et chromées. A noter l’absence de toute représentation des essuie-glace à la base du pare-brise, ceux-ci étant dissimulés sur la plage, restée vide. L’immense capot moteur est correctement nervuré en son centre, tout comme le pavillon et le couvercle du coffre. La proue arbore une belle calandre en V affichant sur sa gauche l’écusson du modèle. Quatre optiques circulaires serties dans des enjoliveurs carrés l’encadrent. Le pare-chocs épouse lui aussi la forme d’un V évasé et surplombe quatre optiques additionnelles. En plus des feux de gabarit, les ailes avant arborent, en leur partie inférieure, le monogramme phototamponné « Riviera ». Lequel monogramme figure aussi sur le couvercle du coffre au-dessus des feux arrière droits. Feux qui sont peints. Cette voiture a conservé les belles jantes en étoile et des pneus bien sculptés et à flanc blanc. Le pare-chocs arrière, entièrement chromé, fait office de bouclier et est lui aussi en forme de V évasé. L’immatriculation arrière est bien décalée côté gauche. Immatriculation dans l’Etat de l’Illinois. Le mobilier intérieur est caramel et composé de deux larges banquettes, celle de devant étant équipée de dossiers séparés avec large accoudoir central pouvant les compléter pour accueillir un éventuel troisième occupant à l’avant. Les contreportes reçoivent une décoration imitation bois. A noter que le dessin particulier de la planche de bord de ce modèle a été très bien restitué et présente bien deux arcs de cercle en face des deux dossiers. Permettant d’afficher les nombreux cadrans du tableau de bord en arc de cercle derrière un volant à trois branches. Un large et mince rétroviseur intérieur pend devant le pare-brise. Le soubassement est peu détaillé, mettant en évidence le tracé des deux lignes d’échappement. |
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PLYMOUTH Savoy de 1959 Ixo/XXX – Collection qui ne sortira pas, n° … Dans le n° 10/410 de CH43 Mag du 10 juin dernier, je vous ai présenté la première version de cette Savoy diffusée en France, sous la forme d’un taxi, alors qu’elle était déjà connue des collectionneurs britanniques pour leur avoir été proposée dans la collection James Bond sous le n° 123 dans une livrée noire. Cette Savoy de 1959, une des dernières représentantes de l’exubérance américaine en matière automobile, nous est aujourd’hui présentée sous une livrée civile, bicolore, bleu clair à pavillon blanc. Cette fois ci, outre le fait que les lignes et volumes de l’original se retrouvent très bien restitués, les nombreux monogrammes disposés un peu partout sur la vraie sont bel et bien présents, phototamponnés. Ce qui n’était pas le cas pour le taxi. L’ensemble ne manque pas de séduire de par ses grandes dimensions. Je disais donc que l’ensemble ne laissait pas indifférent de par ses dimensions importantes. J’ajouterai qu’y contribue aussi sa présentation avec deux essuie-glaces antagonistes chromés rapportés placés à la base du pare-brise et accompagnés d’un rétroviseur extérieur, lui aussi chromé. Tout comme, d’ailleurs, les poignées des portières. C’est rare pour un modèle presse. La grille de la large calandre est très bien reproduite. Elle est encadrée par des doubles optiques rapportées. A signaler que sur ce modèle, les clignotants, situés sur les retours d’ailes, sous les optiques principales, ont bien été reproduits, même si cela est un peu difficile à percevoir au premier coup d’œil. Les roues sont entièrement chromées. Le dessin de l’enjoliveur central est bien conique, comme sur la vraie. Les feux arrière ne sont que peints. Elle arbore une immatriculation dans l’Etat de l’Orégon en 1959. Le mobilier intérieur est entièrement blanc, avec des accessoires de contreportes soulignés d’un trait de peinture alu. La planche de bord est très détaillée et affiche le tableau de bord trapézoïdal derrière le volant. Le soubassement est un peu détaillé. |
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FORD Mustang convertible de 1965 Ixo/XXX – Collection qui ne sortira pas, n° …
J’en ai longtemps rêvé, Ixo l’a fait ! Et en modèles presse encore ! Bravo et merci… De quoi s’agit-il ? Oh, c’est tout simple. Il suffisait de le vouloir et de le pouvoir. Proposer un modèle convertible complet. Je m’explique. Le plus souvent, lorsqu’un modèle convertible est proposé, en boutiques ou en presse, il est proposé en version ouverte. Décapotée. Aujourd’hui, avec cette Mustang, il est enfin possible de l’exposer fermée, telle qu’elle se trouvait à l’intérieur de son boîtage. Mais aussi, découverte, grâce au recouvre capote qui se trouvait dans un petit sachet collé sous le socle. C’est ces deux possibilités que vous découvrirez ci-dessous. Je ne pourrai plus dire qu’il s’agit d’une demi-voiture comme je l’ai souvent écrit par le passé en présent d’un cabriolet ouvert. Encore bravo et merci à Ixo. Mais c’est vraiment dommage que ce modèle ne soit pas diffusé par ailleurs pour le moment. Plus tard, via le label PremiumX (réf. PRD250). En attendant, je l’ai placé à côté de son frère, le coupé (réf. PRD205, cf. le n° 349 de CH43, daté du 16 avril 2012). Erreur ! Fatale erreur ! Car en faisant cela, nous constatons que ce dernier est plus « bas de plafond » que le modèle découvrable, qu’il est légèrement plus étroit et qu’il est doté de roues plus petites. C’est quand même dommage que deux modèles utilisant la même caisse soient reproduits aussi différemment. Mais revenons au convertible. Demain donc, inscrit au catalogue PremiumX, ce cabriolet en diffèrera notamment par ses essuie-glaces moins fins que les photodécoupés du modèle boutiques. Ses lignes, volumes et coloris sont très réussis et bénéficient d’une gravure très fine et d’une finition soignée, très proche de celle d’un modèle boutiques. Je me répète certainement d’un modèle à l’autre, mais que voulez-vous, la qualité est là et à un niveau peu courant pour des modèles presse. Et il en sera de même pour la Pontiac présentez après. La face avant est hyper réaliste avec son Mustang au galop et son immatriculation dans l’état du Texas. Le dessin des jantes est fort réussi et soigné. Les roues sont dotées de jolis pneus à flanc blanc. Le tout ayant un diamètre très légèrement plus grand que celui du coupé, je dirai de l’ordre d’un tiers de millimètre. C’est peut-être très peu mais cela se remarque facilement. Et puisque j’en suis aux pneus, ceux-ci sont trop larges pour bien représenter les montes de l’époque. Les monogrammes et autres cartouches et écussons, sont phototamponnés. La forme et les dimensions du pare-brise sont correctes. Et comme c’est devenu l’habitude, les feux arrière sont métalliques et peints. La représentation de la capote dépliée est très finement détaillée et réaliste. Et comme celle-ci est amovible, enlevons-là et plaçons le recouvre capote pour découvrir l’habitacle. Celui est équipé d’un mobilier bicolore blanc et framboise. Avec une très bonne reproduction de la planche de bord aux multiples cadrans. Il y a même les pare-soleils placés au sommet du pare-brise. Le soubassement est bien détaillé avec les deux lignes d’échappement rapportées. |
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PONTIAC Chieftain de 1954 Ixo/XXX – Collection qui ne sortira pas, n° … Dans le n° 366 de CH43, daté du 13 août 2012, je vous ai déjà présenté cette Chieftain, alors proposée sous le label PremiumX et en série limitée à 500 exemplaires pour MCW. Je pourrai presque reprendre les commentaires écrits à ce moment là, tant le niveau de finition de ce modèle presse est très voisin de celui-ci. En effet, à part les chromes entourant et sur les surfaces vitrées qui ont fait place à des traits de peinture alu, les autres sont toujours présents sur l’imposante carrosserie aux lignes, volumes et coloris, très réalistes. A noter que le petit plus du modèle boutique n’a pas été conservé. Vous n’y verrez pas inscrit par deux fois le nom de la marque Pontiac sur les enjoliveurs. Par contre les pneus à flanc blanc sont toujours présents, tout comme le pare-soleil extérieur. Par contre, il n’y a plus non plus d’antenne radio sur l’aile avant gauche. Les feux arrière sont toujours métalliques et les feux de recul ne sont plus rapportés en plastique translucide. Ils sont simplement moulés. L’immatriculation est de l’état du New Jersey. Le mobilier intérieur, toujours bien détaillé, est gris souris et blanc. La planche de bord arbore de grands cadrans circulaires. Le soubassement est sobrement détaillé et est dépourvu de toute référence. |
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Conclusion : Au risque de me répéter une fois encore, je trouve dommage qu’aucun éditeur ne se lance dans une collection de voitures américaines de 1950 à 1980, nous proposant l’exubérance de cette période. Qui sait, peut-être qu’un jour … |
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n° 27/427 du 14 octobre 2013 |
page 2/2 |
Spéciale test Camions et véhicules des Sapeurs-pompiers
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Dans le n° 24/424 de CH43Mag daté du 23 septembre 2013 je vous ai présenté le premier camion de ce test. Aujourd’hui je suis en mesure de vous présenter les trois autres. Aussi pour regrouper l’ensemble je vous représente le premier avec eux. |
CITROËN type PY « Belphégor » Ixo/Hachette – test de la collection des Camions & véhicules de sapeurs pompiers, n° t01 Voici donc en avant-première le premier numéro de ce test qui est un CITROËN type PY dit « Belphégor » avec citerne tonne Berliet. Et tout de suite, il m’incombe de signaler qu’il n’a rien à voir, côté finition, avec celui que l’on nous a proposé dans la collection Michelin. Déjà par ses dimensions bien plus généreuses, qui confirment que le premier n’était pas au 1/43ème. Et puis sur celui-ci les petites vitres à hauteur de la calandre, sont bien vitrées. Combinant de belle manière métal et plastique, ce véhicule nous représente fidèlement l’original avec un grand respect de ses lignes et volumes. Ceci, grâce à une bonne gravure et à la présence d’accessoires rapportés très finement réalisés. La cabine est soignée, avec une très belle face avant, à la jolie grille de calandre. Les roues me paraissent toutefois un poil trop grandes. Un ensemble de quatre balais métalliques est accroché sur le flanc gauche du camion. Mais c’est l’arrière du camion qui mérite que l’on s’y attarde. Ce, alors même que dans de nombreuses vitrines, il ne sera plus visible. Et là, Ixo a reproduit les différentes vannes alimentées par la citerne. Et les tuyaux et leurs dérouleurs, avec housses sur les tuyaux. Une échelle double complète l’équipement extérieur. A l’intérieur de la double cabine, le mobilier est rouge foncé et complet. Avec le gros coffrage du moteur et le long levier de vitesse recourbé au-dessus de celui-ci. Le châssis est classique, mais sans roue de secours. |
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MAGIRUS-DEUTZ Mercur TLF15 Ixo/Hachette – test de la collection des Camions & véhicules de sapeurs pompiers, n° t02 Un petit tour outre Rhin pour poursuivre ce test avec ce beau camion en service à Baden-baden. Les lignes et volumes de l’original sont bien reproduits et bénéficient d’une bonne gravure et d’une belle finition. Outre les équipements et accessoires traditionnellement visibles sur un camion, nous trouvons en plus sur celui-ci, deux trompes pour l’avertisseur sonore et un projecteur orientable, placés côté droit de la cabine. Les larges marchepieds servent aussi de rangement à deux tuyaux de chaque côté de la double cabine. La grosse sortie d’échappement débouche derrière les roues jumelées arrière. Les feux arrières ne sont que gravés. Ils sont surmontés par deux petits dérouleurs de tuyaux. Eux-mêmes surmontés d’un petit projecteur et de deux gyrophares orange. Le dessus de la citerne supporte une longue échelle double et une roue de secours. Il y a aussi un tuyau supplémentaire et un harpon. Le mobilier intérieur de la double cabine est gris. Il est composé de deux larges banquettes. Avec siège séparé pour le conducteur. Je n’ai pas vu de cadran pour le tableau de bord. Le châssis est classique. |
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BERLIET FF 6x6 Ixo/Hachette – test de la collection des Camions & véhicules de sapeurs pompiers, n° t03 Voila du pratique. Pas de l’esthétique. Du fonctionnel, vous dis-je. Avec ses lignes droites et ses volumes genre boite à chaussures. Si l’ensemble reproduit très bien lesdits volumes, il y a encore un problème de dimension de roues. En effet, pour avoir retrouvé une photo du véhicule reproduit, j’ai la confirmation que leur diamètre est trop important, certainement en raison de l’épaisseur des pneus utilisés. Pour le reste nous avons un véhicule bénéficiant d’une belle gravure et d’accessoires rapportés assez fins. Ce qui n’est pas le cas des essuie-glaces, qui manquent de finesse. Ils sont de meilleure tenue sur les autres camions. L’imposante grille de protection de la face avant est bien présente. Les feux latéraux sont rapportés, en plastique orange. Les poignées d’aide à la montée à bord ne sont que gravées. Les feux arrières ne sont que gravés. Et curieusement, l’immatriculation se trouve à droite, derrière une petite échelle et surmontée d’un phare de recul. Au centre de l’arrière nous trouvons un ensemble de tuyauterie avec vannes, surmontée d’un dévidoir et d’une échelle double avec crochets. Il y a, en plus, deux chariots dérouleurs avec leurs tuyaux, cette fois-ci, sans housse de protection. Sur le dessus de la citerne, il y a aussi quatre autres tuyaux, et devant elle, une roue de secours. Le mobilier intérieur de la double cabine est crème pâle avec deux sièges noirs. Avec, à l’arrière, une large et simple banquette, sans dossier ! Les contreportes sont détaillées. S’il y a bien le long levier de changement de vitesses et celui qui l’accompagne, il n’y a pas de cadrans au tableau de bord. Le châssis représente celui d’un 6x6. |
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RENAULT GBH280 citerne Ixo/Hachette – test de la collection des Camions & véhicules de sapeurs pompiers, n° t04 Pour moi, le moins intéressant des quatre, certainement parce qu’il a un air de déjà vu et d’une certaine banalité, du fait de sa citerne. Pourtant l’ensemble ne démériterait pas s’il ne me procurait, de profil, un certain malaise du un déséquilibre visuel entre son empattement – que je trouve trop court – et le porte à faux arrière – que je trouve, à l’inverse, trop long. Je laisse le soin aux spécialistes de confirmer ou infirmer mon point de vue. S’il n’y avait à l’avant le monogramme Renault et son losange apposé sur la grille du radiateur, j’aurais juré que nous nous trouvions en présence d’un Berliet. Et pour cause, le premier ayant racheté le second. Comme je l’écrivais plus avant, l’ensemble est seyant dans sa belle livrée rouge et la finition toujours d’un bon niveau. Toutefois je trouve la cabine assez étroite alors qu’au niveau des marchepieds sa largeur est correct et correspondrait bien à 2.50 m. Les phares sont encastrés dans le bouclier faisant fonction de pare-chocs avant. Les clignotants et feux de gabarit sont rapportés, en plastique orange. Les poignées d’aide à la montée à bord et les rétroviseurs latéraux sont constituées par des pièces rapportées. Il existe une protection latérale pour la roue de secours, côté gauche. La partie citerne est archi connue et possède toujours ses deux longs tuyaux placés dans les rigoles latérales. A l’arrière, la barre anti-encastrement reçoit les feux réalisés en plastique entièrement rouge. L’immatriculation est militaire. C’est vrai qu’il s’agit d’un camion affecté au camp militaire de Canjuers (83). Le mobilier de la cabine est entièrement noir à l’exception des cadrans du tableau de bord. Le châssis est classique pour ce 6x4. |
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Conclusion – Les premiers numéros sont superbes. Si les suivants sont du même niveau de finition, les amateurs de camions de sapeurs-pompiers devraient trouver matière à assouvir leur passion en espérant que cette collection n’arrive pas trop tard pour cela. Je la verrais bien accompagnée de soldats du feu pour animer les dioramas. Il semblerait que je ne sois pas le seul à l’avoir pensé. Affaire à suivre donc. |