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29 novembre 2007 4 29 /11 /novembre /2007 13:09
collechebdo_300x43.gif n° 121 du 02 décembre 2007
   
Une fois n’est pas coutume, ce numéro de Collec’ Hebdo 43 sera uniquement consacré à Peugeot. D’abord en vous présentant trois modèles de la gamme 2007, disponibles dans le commerce traditionnel ; puis deux modèles issus des collections de presse.
 
Trois nouveautés du commerce tradutionnel

PEUGEOT 207SW de 2007 – Norev – réf. 472780
Réduit par Norev, ce break est fort correctement reproduit dans des lignes, volumes et coloris fort bien respectés mais avec un grain trop épais à mon goût. De plus, cette miniature bénéficie d’une finition soignée avec barres de toit rapportées et « chromées » et toit vitré au-delà du pare-brise panoramique. Par contre les jantes alliage ne laissent voir … que du noir. De plus, à l’inverse des C-Crosser et 4007 l’arrière ne s’ouvre pas. Dommage, qu’une fois encore, un intérieur noir nous prive de la vision de son mobilier derrière des vitres arrière surteintées. Seuls les pare-soleil et quelques touches de couleurs sur la planche de bord colorent cet intérieur. Le soubassement est détaillé avec une ligne d’échappement alu et la miniature roule bien.

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PEUGEOT 308 de 2007 – Norev – réf. 473800
Réduite par Norev, cette 308 nous est proposée en finition Féline avec toit vitré prolongeant son pare-brise panoramique. Les lignes, volumes et coloris sont fidèles et la finition digne des standards d’aujourd’hui. D’accord, le modèle est réussi, mais cette standardisation abolit toute identification du réducteur. La banalisation se poursuit. Cette miniature pourrait tout aussi bien être signée par un autre. Seul petit reproche, la taille du grain de la peinture métallisée qui gagnerait à être plus fine. Les roues de charrettes laissent voir les disques de frein avec leurs étriers. Aussi ce sera l’intérieur qui retiendra mon attention avec son coloris marron pour restituer l’ambiance cossue de son mobilier haut de gamme. Le soubassement plat est gravé et la miniature roule bien.

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PEUGEOT 4007 de 2007 – Norev – réf. 474070
Réduit par Norev, ce SUV est fort correctement reproduit dans des lignes, volumes et coloris fort bien respectés. Toutefois il est complètement desservi par cette livrée noire qui occulte les rares détails de ce modèle. Malgré tout, cette miniature bénéficie d’une finition soignée avec barres de toit rapportées et « chromées », jantes alliage laissant voir les disques de frein munis de leurs étriers. De plus l’arrière s’ouvre comme le vrai, en deux parties. Comme pour le C-Crosser de Citroën, il n’y a rien pour maintenir levée la lunette arrière qui retombe tout de suite ! C’est vrai que dans une vitrine ce modèle sera rarement présenté ouvert. Alors pourquoi cette ouverture ? Peut être pour montrer l’aménagement intérieur du coffre. Dommage, qu’une fois encore, un intérieur noir nous prive de la vision des sept sièges composant le mobilier. Seuls quelques inserts « chromés » colorent cet intérieur. Le soubassement est bien détaillé et la miniature roule bien.

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Deux  des nouveautés presse

PEUGEOT 403 Grand luxe (AM 1963) – Norev – collection Peugeot, n° 47
Réduite par Norev, cette 403 nous rappelle celle sortie dans la collection Voitures françaises (n° 114) dans une livrée ivoire. Cette fois-ci cette 403 nous est proposée dans ce que j’appelle une livrée d’opérette qui n’a rien à faire dans une collection consacrée à un constructeur. Il y en a assez de ce type de décoration qui n’apporte rien.  Qu’Hachette lance carrément une collection sur le thème des voitures publicitaires, comme le fait avec succès le tandem Altaya-Ixo. Au moins on sait à quoi s’attendre. Dommage que cette réduction soit elle aussi dépourvue de toute trace de chrome sur les joncs courant sur sa caisse à l’exception du jonc central du capot. Par contre, le monogramme 403 et l’écusson Peugeot sont bien présents à l’avant cette fois-ci. De plus, la calandre noircie est d’un plus bel effet que sur la version du commerce traditionnel qui n’a pas bénéficié du même traitement. L’intérieur est noir.  Mais ce qui vaut le coup d’œil, c’est le soubassement qui est bien détaillé avec une ligne d’échappement particulièrement travaillée. La miniature roule bien.

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PEUGEOT 504 – Ixo – collection Michelin, n° 46
Réduite par Ixo, cette 504 se distingue des productions antérieures de ce réducteur par la présence de quatre optiques circulaires à l’avant, réalisées grâce à une assez jolie astuce, la pose d'un cache sur les optiques trapézoïdales de la version française. Sinon, c’est le moule sans toit ouvrant qui a été retenu pour cette réplique qui nous restitue très bien les lignes et volumes de la vraie. Dommage toutefois que le dessin des passages de roues avant soit approximatif et que la finition de ce modèle rappelle la première période de ce réducteur. Notamment au niveau des évacuations d’air des panneaux de custode qui ne sont représentées que par un trait de peinture noire.  A l’avant les ensembles veilleuses-clignotants auraient mérité un autre traitement, plus réaliste. Ainsi d’ailleurs que les feux arrière très schématiques. Les roues, une fois encore, dépourvues d’enjoliveurs sont trop largement chaussées. L’intérieur noir est des plus conventionnels. Le soubassement est peu détaillé et la miniature roule bien.

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Published by Trebor Yles - dans Nouveautés de la semaine
15 novembre 2007 4 15 /11 /novembre /2007 14:54
collechebdo_300x43.gif n° 119 du 19 novembre 2007
   
Nouveauté 2007

CITROËN C-Crosser – Norev – réf. AMC018880 ou UV1 155650

Réduit par Norev, cet SUV est fort correctement reproduit dans des lignes, volumes et coloris fort bien respectés. Il est vrai qu’avec les procédés modernes il eut été difficile de faire moins bien. Toutefois le grain est un peu trop gros. Ainsi, cette miniature bénéficie d’une finition soignée avec barres de toit rapportées et « chromées », jantes alliage laissant voir les disques de frein munis de leurs étriers. De plus l’arrière s’ouvre comme le vrai, en deux parties. Mais pourquoi il n’y a rien pour maintenir levée la lunette arrière qui retombe tout de suite ? C’est vrai que dans une vitrine ce modèle sera rarement présenté ouvert. Alors pourquoi cette ouverture ? Peut être pour montrer l’aménagement intérieur du coffre. Dommage, qu’une fois encore, un intérieur noir nous prive de la vision des sept sièges composant le mobilier. Seuls quelques inserts « chromés » colorent cet intérieur. Le soubassement est bien détaillé et la miniature roule bien.

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Quatre des nouveautés (presse) de la semaine

CITROËN DS23 Pallas de 1975 – Norev – collection DS, n° 47

Réduite par Norev, cette DS23 nous restitue de très bellle façon le dernier modèle produit par Citroën sur ses chaînes parisiennes. Nous retrouvons avec plaisir le moule le plus réussi de la DS restylée même s’il souffre d’une finition simplifiée, notamment en ce qui concerne les faux encadrements de fenêtre qui ne sont en fait que les joints caoutchouc qui ne sont pas peints en noir comme sur la version boutique ou celle des voitures françaises. Malgré cette finition la miniature est réussie avec des lignes de pare-chocs très fines, des optiques avant soignées. Dommage que l’éclairage de l’immatriculation arrière ne soit pas chromé. Par contre les butoirs des pare-chocs sont noirs et cette DS23 bénéficie d’un intérieur bleu des plus seyants. Le soubassement est peu détaillé mais la miniature roule bien.
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DODGE Tradesman 300 de 1977 – DelPrado – collection Camions de pompiers du monde, n° 139
C’est rare que j’achète un modèle de cette collection dont les composants sont à échelles variables mais ce fourgon est au 1/43ème. Si les lignes et volumes paraissent corrects il n’en va pas de même de la finition qui en fait plus un jouet qu’un véritable objet de collection. Mais bon, il comble un vide car ce n’est pas si fréquent que l’on nous propose un modèle US. Ceci dit l’avait est desservi par une calandre des plus rudimentaires où les différentes optiques ne sont que dessinées, et où le pare-brise paraît manquer de hauteur. Il en va de même pour les vitres latérales. Les roues sont honnêtes mais le profit est abimé par l’ensemble des pièces rapportées manquant de finesse. C’est le moins que je puisse dire. L’arrière est des plus simplissimes et souffre d’un manque de soin dans l’application de la peinture. L’intérieur est noir, le soubassement peu détaillé, mais la miniature roule bien. C’est peu mais utilisable dans un fond de garage ou de diorama.

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PEUGEOT 302 de 1937 – Norev – collection Peugeot, n° 46
Réduite par Norev cette berline 302 nous séduit par une belle restitution des lignes et volumes de l’original, mais aussi par une robe d’un coloris réaliste. Une fois encore le rendu de la calandre est assez fin pour permettre de voir les optiques dissimulées derrière la calandre qui surplombe un pare-chocs en forme de cornes de bovins. Toutefois je m’interroge sur la présence de renflements existant de part et autre du bas de ladite calandre. Le profil est très soigné avec les trois flèches de capot et les flammes à tête de lion sur les ailes arrière. Les roues sont correctes. L’arrière dispose de l’ensemble immatriculation et feux arrière à rétroéclairage doté d’un incongru éclairage type 2cv  rajouté par la suite en son milieu. C’est en regardant l’arrière que j’ai trouvé la réponse à la question des renflements à l’avant. Il s’agit certainement de clignotants car les ailes arrière comportent chacune deux renflements plus petits pour des clignotants et des feux arrière, les catadioptres placés au ras du pare-chocs sont eux aussi reproduits mais non peints. L’intérieur est noir, le soubassement peu détaillé et la miniature roule bien.

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SIMCA Week-end de 1955 – Ixo – collection Simca, n° 22 (sortie abonnement)

Réduit par Ixo, ce cabriolet Week-end nous restitue de très belle manière les lignes, volumes et coloris de l’original. A noter que la belle robe ivoire est assez fine pour ne pas cacher les détails. C’est pour moi l’un des plus réussis bien qu’il ne soit exempt de critiques, notamment dans le traitement de l’avant  où la moustache chromée manque un poil d’épaisseur et devrait se terminer à ses extrémités sous le joint des tôles qui court jusqu’au passage des roues. Toutefois l’ensemble est très réussi avec un pare-brise à l’entourage réaliste et assez fin, muni de ses deux pare-soleils et avec ses essuie-glaces antagonistes. Signalons les deux traits noirs figurant les entrées d’air. Ils faisaient défaut sur les coupés. Le profil très simple de l’original est bien restitué même si la courbure des bananes du pare-chocs avant ne soit pas assez prononcée. A noter la reproduction des rares chromes de l’original et du monogramme Week-end sur le côté droit et même la serrure de la trappe à carburant. Très jolies roues bien réussies et réalistes avec la présence du S doré de Simca au centre des enjoliveurs. L’arrière est fidèle mais dommage que le pare-chocs arrière ne soit pas vraiment horizontal. Bien que très sobre, l’habitacle est fort réussi avec un mobilier très réaliste avec un ensemble volant-tableau de bord très élégant. Mais il faut aller au fond des choses et découvrir la gravure du tapis de sol à l’avant. Le soubassement est sobrement détaillé et la miniature roule bien.

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Deux nouveautés du commerce traditionnel

TALBOT Samba Rallye de 1983 – Ixo – réf. CLC163

Réduite par Ixo, voici aujourd’hui la version boutique du n° 19 de la collection Simca, dans une livrée rouge cette fois ci. Il s’agit de la version de série. Reprenant le même moule, nous retrouvons  un avant assez fin avec ses essuie-glaces noirs et une belle prise d’air sur le dessus du capot. L’ensemble optiques et calandre est correct avec le logo Talbot en son milieu, de même que le bouclier. De profil, l’inclinaison de la calandre est bonne mais cette dernière gagnerait à être moins enfoncée pour être affleurante à l’arrête du capot. La décoration bicolore (blanc et caramel) est correcte mais il est dommage toutefois que ladite bande caramel soit si peu visible et que la pose soit assez aléatoire suivant les voitures. A noter le monogramme Talbot sur les cabochons noirs des roues. A l’arrière, belle lunette arrière avec son désembuage très discret et présence trop discrète des monogrammes sur la bande noire qui la souligne. Jolis feux arrière et bouclier correct complète l’ensemble. A noter encore que si cette version est dotée du crochet de remorquage elle perd le petit trait noir du système d’ouverture du hayon. Le pavillon arbore un point noir à l’emplacement de l’antenne radio. A l’intérieur, honnête  mobilier noir avec planche de bord correcte. Le soubassement n’est pas détaillé mais dispose d’une ligne d’échappement argentée et la miniature roule bien.

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SIMCA 1000 Rallye 2 coupe SRT 77 de 1977 – Norev – réf. 571018

Réduite par Norev cette Rallye 2 dans reprend le moule de la  Rallye 3 qui fut l’ultime version sportive de la Simca 1000 (réf. 571017). Nous retrouvons donc sans difficulté les formes cubiques de l’original dans une décoration originale. L’avant est somme toute correct avec ses gros phares rectangulaires mais sans ampoules à cabochon jaune. Dommage que la petite grille sous le pare-chocs ne soit pas noire et que le sigle Simca soit un peu trop haut. Les clignotants sont blancs. Le traitement du profil nous restitue assez difficilement le côté bricolage des élargisseurs d’ailes, d’ailleurs dépourvus de sabots de protection à l’avant des passages de roues arrière. Les roues sont bien rendues. A l’arrière le becquet, bien que discret, est noyé dans le noir mat du capot moteur. Les feux arrière sont réussis. Par contre le pare-chocs est trop épais, notamment au regard de celui de l’avant, alors qu’ils sont de même épaisseur sur la vraie. C’est au niveau de la sortie d’échappement avec son très étroit pot de détente transversal que l’on peut faire la différence entre Rallye 2 et Rallye 3 et ce d’autant que le bas de la jupe n’a pas été encore découpé et que l’on retrouve les sept perforations rectangulaires. L’intérieur noir est très (trop) sobre. Le soubassement est détaillé avec une ligne d’échappement différente de la Rallye 3. Cette miniature roule bien et complète la série des 1000 sportives.
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Published by Trebor Yles - dans Nouveautés de la semaine
9 novembre 2007 5 09 /11 /novembre /2007 15:17
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 Cinq des nouveautés (presse) de la semaine

ALPINE A110 1600S – Eligor – collection Alpine et Renault sportives, n° 07

Réduite par Eligor, cette A110, nous propose une berlinette qui nous change du bleu métallisé habituellement proposé. Sa livrée rose et rouge met en évidence les lignes et volumes de l’original. Toutefois cette miniature souffre d’un très mauvais dessin des passages de roues avant souligné de rouge.  Sinon le reste de la voiture est correctement reproduit malgré des optiques additionnelles semblant avoir souffert en cours d’épreuves tant leur strabisme est divergent ! Les roues sont correctes mais le train arrière ne présente pas de carrossage négatif. Arrière soigné avec de belles grilles rapportées au niveau des prises d’air mais feux uniquement rouges. L’intérieur noir, n’appelle pas de remarque particulière si ce n’est pour signaler la présence d’un arceau entre sièges et moteur. Le soubassement est détaillé au niveau des trains roulants et du moteur. La miniature roule bien.
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CITROËN 2cv pick-up – Ixo – collection Camionnettes d’antan, n° 39

Réalisé par Ixo, ce pick-up reprend le moule qui a servi pour la représentation d’un pick-up bâché, ouvert, aux couleurs de Michelin et transportant lui aussi des pneumatiques. C’est pourquoi l’on retrouve cette sur épaisseur à l’arrière de l’habitacle qui n’existe pas sur l’original, pour une fois visible dans le fascicule d’accompagnement ainsi que le traitement complètement raté de l’avant avec une calandre aux formes et dessin approximatifs et un peu écrasée (manque d’arrondi longitudinal) mais surtout à cause de la position trop rapprochée des phares qui empêcherait l’ouverture du capot moteur. Et pour terminer sur ce registre, notons l’absence du toit creusé de deux carrés pour sa rigidité. L’intérieur est noir, le soubassement peu détaillé et le modèle dont je dispose roule très mal, roues arrière coincées. Et pourquoi l’avoir affublé d’un gyrophare, de plus bleu ?
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03_etoiles.jpg   J'ai rempacé les pneus par des accessoires
   

FORD Escort de 1982 – Ixo – collection Voitures d’antan, n° 95

Réduite par Ixo, cette Escort, nous restitue les lignes et volumes de l’original noyés, une fois encore, sous une peinture trop épaisse qui dissimule les rares détails d’une carrosserie fort avare en la matière. L’avant bénéficie d’essuie-glaces noirs et d’une calandre des plus sobres avec de drôles d’optiques. Le profil n’est pas très soigné avec cette peinture noire envahissant des encadrements de fenêtres simplifiés. Les roues manquent de relief. C’est l’occasion d’attirer l’attention des curieux sur la représentation des amortisseurs dans les passages de roues côté droit et l’absence de ceux-ci côté gauche !!! L’arrière est honnête avec de jolis feux colorés et la présence des logo et monogrammes. L’intérieur gris foncé montre un mobilier des plus sobres. Le soubassement est peu détaillé mais la miniature roule bien.
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MERCEDES 300S Roadster de 1956 – Ixo – collection Mercedes, n° 08

Réduite par Ixo, ce roadster nous restitue de belle manière les lignes et volumes de l’original dans une livrée prune assez réussie. J’écris « assez » car il y a quelque chose qui me chagrine sur cette miniature : l’absence des deux chromes courant sur les côtés du capot et encadrant les fentes d’aération ajoutées en 1955 en même temps que les déflecteurs de portières qui, eux, sont bien présents !?! Dommage également que les clignotants avant, situés en bout des chromes d’aile, ne soient pas visibles. L’avant, correctement reproduit, mériterait une calandre noircie derrière la grille de calandre. Le profil est correct malgré l’absence de certains chromes. Les roues sont très réalistes. Je n’en dirai pas autant des butoirs du pare-chocs arrière trop recourbés et agressifs à mon avis. Par contre c’est l’habitacle qui va recevoir la meilleure appréciation pour souligner le soin apporté à restituer l’impression d’une sellerie cuir de premier choix. Une petite merveille pour une collection de presse. Belle planche de bord et présence d’un cache bagages derrière les sièges. Le soubassement est peu détaillé et la miniature roule mal. Allez, malgré tout…
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SIMCA Régence de 1957 – Ixo – collection Simca, n° 21

Réduite par Ixo, cette Régence vient compléter le panel de la gamme Vedette première génération. Nous retrouvons donc avec (dé)plaisir le moule déjà utilisé pour la Versailles (n° 28 de la collection des voitures d’antan) et l’Ariane 4 (n°06 de la collection Simca). Ne nous manque plus que la Trianon pour avoir l’intégralité des berlines Vedette à moteur V8 se partageant cette carrosserie. Je rappellerai simplement que l’arrondi du haut de la portière arrière aurait demandé à commencer un peu plus loin pour être un peu plus pentu. De même pour le dessin de l’aile arrière qui descend un poil de trop. Enfin, le dessin de la lunette arrière manque d’arrondi dans sa partie supérieure. De plus, il faut bien reconnaître qu’après avoir vu les dernières productions d’Ixo, notamment ses Talbot et Matra-Talbot, la finition de cette Régence nous ramène à la première époque de ce réducteur. Toutefois, il semble avoir tiré le maximum de ce moule avec une décoration et une finition des plus honnêtes malgré des roues assez simplistes. Dommage que les feux arrière n’aient pas été peints à l’identique de ceux de la Versailles. Un soin particulier a été apporté dans le traitement de l’habitacle dont le mobilier coloré est très kitch mais des plus réalistes. Le soubassement est peu détaillé mais la miniature roule bien.

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03_etoiles.jpg  Les pneus à flanc blanc ont été prélevés sur un autre modèle où il n'avaient pas leur place
   
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Published by Trebor Yles - dans Nouveautés de la semaine
2 novembre 2007 5 02 /11 /novembre /2007 09:23
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En attendant l'Ixo 

SIMCA Monaco 1961 – base Solido – réalisation M. Michel Paquet

J’en avais rêvé, mais comme j’ai deux mains gauches, M. Michel Paquet l’a faite. L’idée m’était venue l’année dernière et la voici aujourd’hui concrétisée. En attendant la sortie de la Monaco Spécial 1962 annoncée dans la collection Simca, voici une Monaco 1961 réalisée à partir de l’Aronde P60 produite par Solido réf. 4595. Le résultat est très convainquant. 
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  Cinq des nouveautés (presse) de la semaine

CITROËN HY – Universal Hobbies – collection passion Citroën, n° 84

Réduit par Universal Hobbies, ce type H est des plus réussi malgré une livrée très criarde aux couleurs de Citroën. Lignes et volumes sont au rendez-vous et de quelle manière ! Gravure très soignée et nombreuses pièces rapportées en « vrai » chrome. Jusqu’à l’entourage des phares. Ce modèle présente l’intérêt de nous proposer une version avec nervures plates sur le capot. Notez les forts jolis marchepieds très réalistes. Par contre un peu de peinture noire sera la bienvenue pour les entourages de vitres argentés. Les profils mettent en évidence de fort jolies roues et la présence de clignotants à l’avant – souvent oubliés par un autre réducteur. L’arrière accueille même des catadioptres. L’intérieur laisse apercevoir un mobilier spartiate mais bien détaillé visible au travers de demi-vitres coulissantes du plus bel effet et astucieusement réalisées. Le soubassement est bien détaillé et présente une curieuse similitude avec celui du H réduit par Ixo qui l’accompagne sur certaines photos. La miniature roule bien.

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PEUGEOT 104ZS2 de 1979 – Norev – collection Peugeot, n° 45

Réduit par Norev, ce coach 104 nous est fort bien présenté dans le respect de ses lignes, volumes et coloris dans une livrée gris bleu métallisé. Les appendices propres à cette version sont bien présents, tels les élargisseurs de roues noirs et le spolier sous le pare-chocs avant. Lequel avant est assez bien rendu mais manque d’inclinaison rentrante. De plus, le monogramme 104 est trop en arrière sur le capot. Le profil met en évidence les jantes alliage et les élargisseurs d’aile déjà évoqués. L’arrière est très réussi avec la présence de tous les monogrammes et des blocs de feux très fidèles. Belle sortie d’échappement. L’intérieur noir correspond bien à la version. Notons le bossage au dos de la banquette arrière indiquant l’emplacement de la roue de secours. Le soubassement est détaillé et la miniature roule bien. 
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RENAULT concept-car Laguna – Norev – collection Concept-cars, n° 19

Réduit par Norev, ce concept-car nous est proposé en version fermé. Toutefois, cela n’est pas trop gênant dans la mesure où la bulle  est très peu teintée et laisse voir l’aménagement intérieur et l’ensemble mécanique, tout deux très détaillés. Si les lignes et volumes sont bien restitués je trouve que son coloris est trop clair. Cela se voit davantage lorsque la version boutique est à côté, plus sombre mais ne laissant rien deviné derrière une bulle très fumée. Ceci dit cette réplique comporte les rares éléments d’ornement de l’original se limitant aux deux losanges apposés à l’avant et à l’arrière. Les roues, au dessin original et complexe, sont fidèles.  Le soubassement est gravé au niveau des trains roulant et la miniature roule bien.
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ROSENGART Supertraction de 1939 – Ixo – collection Voitures classiques, n° 50 et dernier

Réduite par Ixo, la Supertraction séduit par le réalisme de ses lignes et volumes dans une jolie livrée crème et sa présentation dite Milord à la capote semi-dépliée, n’abritant que les passagers arrière. A part les clignotants rapportés sur le pare-chocs l’avant reproduit très bien la vraie avec ses grandes prises d’air faisant fonction de calandre. Les optiques principales sont réalistes. Le profil est réussi et très racé. Les imposantes moulures chromées cernant le capot manquent malgré tout de gravure on distingue mal les trois éléments qui les composent. Par contre les roues ajourées sont bien réussies. L’arrière est magnifiquement incliné et dispose d’une sortie d’échappement accessoirisée semble-t-il.  L’intérieur est du même tonneau dans un habillage bleu-vert des plus convaincants. Et que dire de la planche de bord bien décorée avec son volant tulipe et le levier de vitesses de la traction Citroën. Le soubassement n’est pas détaillé mais la miniature roule bien. Un très beau modèle qui termine en beauté une collection qui nous a offert de très beaux modèles, dont certains originaux, comme la Bucciali.

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TALBOT SUNBEAM LOTUS – Ixo – Collection Rallye de Monte-Carlo, n° 44

Réduite par Ixo cette Talbot est celle qui a participé au rallye de Monte-Carlo en 1981 aux mains de Guy Fréquelin et de Jean Todt.  Je retrouve avec plaisir le moule très réussi qui a servi aux précédentes versions, encore avec conduite à gauche comme sur les deux premières en ma possession. Notez l’absence de pare-chocs chromés sur cette miniature et de bavettes à l’arrière - alors que la vraie était pourvue de ces deux éléments. Par  contre il y a bien les plaques de protection à l’avant des ailes arrière et six phares additionnels.  La voiture est très plaisante à regarder, disposant de tous les stickers. Toutefois l’arrière est nu de tout monogramme. Son intérieur est, comme toujours dans cette collection, très bien décoré notamment aux niveaux des sièges baquets laissant même voir la carrosserie entre les deux rangées de sièges. Le soubassement est peu détaillé et la miniature roule mal.  A quand une version civile de cette voiture ? 
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26 octobre 2007 5 26 /10 /octobre /2007 14:18

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n° 116 du 29 octobre 2007

   

Cinq des nouveautés (presse) de la  semaine

   
AUSTIN J4 – Ixo – collection Camionnettes d’antan, n° 68
Ce J4 réduit par Ixo a déjà été présenté dans les colonnes du n° 42 du 22 mai 2006 de Collec’Hebdo 43 pour avoir été proposé à de nombreuses reprises dans la collection espagnole. Il reproduit d’une façon originale les lignes et volumes très « boîte à chaussures » de l’original dans sa livrée aux couleurs britanniques et à l’honneur d’un agent du groupe BMC. Très minimaliste, la calandre parait dépourvue de la large barre chromée qui la traverse sur certaines versions de cette fourgonnette. Calandre non surmontée du monogramme Austin qui devrait la surplomber. Notons la présence de portières coulissantes sur ce modèle. Jolies roues des premières versions. L’arrière, lui aussi minimaliste, n’a toujours pas retrouvé les poignées des portes battantes déjà absentes sur les deux versions espagnoles. L’intérieur noir bénéficie d’une cloison de séparation nervurée qui suggèrerait une cloison dépliable. Le soubassement n’est pas détaillé mais la miniature roule bien.
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MERCEDES 200 de 1968 – Ixo – collection Mercedes, n° 07
Réduite par Ixo, cette 200, n’est pas une inconnue pour les fidèles de la marque car elle est la sœur jumelle de celle proposée en boutique sous la référence CLC123. Lignes, volumes et coloris sont au rendez-vous. A l’œil, la voiture paraît souffrir d’une ligne de caisse trop basse mais en réalité les proportions sont bien respectées. Les photos corrigent cette mauvaise impression. Les essuie-glaces croisés sont plus grossiers que sur la version boutique et le rétroviseur intérieur n’est pas peint. Bien que respectant la bonne longueur, le profil donne l’impression d’une voiture étirée alors que la vraie était ramassée. Dommage que les traits de peinture représentant les chromes n’aient pas la finesse de l’autre version. Les roues sont correctes, sans plus. L’arrière bénéficie de feux correctement colorés. L’intérieur bénéficie d’un mobilier bien coloré donnant l’illusion du cuir. Le soubassement est bien détaillé et la miniature roule bien.
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PEUGEOT J7 de 1965 - Ixo – collection Michelin (réédition) , n° 04
Réduite par Ixo, cette miniature est une reprise du moule déjà utilisé pour d’autres modèles dont ceux aux couleurs du célèbre VeloSolex ou de la colle Scotch, respectivement n° 25 et 37 de la collection des camionnettes d’antan. (cf. les n° 26 du 03 février 2006 et 51 du 31 juillet 2006). Nous attendrons encore une fois une de plus en plus hypothétique version à l’ouverture arrière style H Citroën pourtant promise de longue date. Pour cette nouvelle version, aux couleurs de Michelin, Ixo a peint les enjoliveurs des phares couleur carrosserie. Mais il est encore une fois donné de constater que l’ensemble veilleuse-clignotant est tout orange au lieu d’être ou tout blanc, ou bicolore selon les années de fabrication et que les feux arrière sont uniquement rouges. Par contre les poignées de portière sont « chromées ». A l’intérieur notons la présence persistante d’un rétroviseur intérieur pour cette version fourgon. Seule la version microbus en disposait pour surveiller les passagers. Bien que noir le mobilier de la cabine est très visible ainsi qu’une jolie cloison de séparation. A l’inverse de contre-portes totalement oubliées. Le soubassement est bien détaillé avec peinture chromée sur la ligne d’échappement latérale. La miniature roule mal, les roues frottant contre la carrosserie.

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RENAULT R9 GTL de 1982 – Ixo – collection Voitures d’antan, n° 94
Réduite par Ixo, cette R9 nous ramène à la fin de la première période de ce réducteur  du fait d’un avant trop incliné qui abime le rendu des lignes et volumes de ce modèle. De plus, sa robe bleu foncé nous prive d’une lecture facile de ses détails.  Après la découverte de la maîtrise d’Ixo dans l’art de reproduire les optiques à ampoules jaunes, le traitement des phares de cette R9 parait rudimentaire. Le profil permet de dater la miniature comme AM 1982 de par la forme des enjoliveurs de roues laissant voir les vis de fixation comme cela était alors la mode. La baguette de protection latérale est bien présente et même peinte en noir, bien que peu visible. L’extrémité du coffre est surmontée d’un béquet optionnel. De série sur les modèles supérieurs GTS ou TSE aux roues différentes. L’intérieur noir bénéficie d’un mobilier correctement dessiné. Le soubassement n’est pas détaillé mais la miniature roule bien.

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Simca 1500 normale (AM 1965) – Ixo – collection Simca, n° 20
Réduite par Ixo, cette 1500 nous restitue de belle façon lignes et volumes de l’original. Il est vrai que ce n’est pas la première fois qu’Ixo reproduit cette caisse puisqu’il nous l’a proposait en version 1300 dans la collection des Voitures d’antan, d’ailleurs sous une robe au coloris très voisin. Ce qui est bien dommage car on risque de les confondre si elles sont placées côte à côte. Elle risque de rester sur les étals. Ceci dit notons à l’avant le nouveau traitement – très réussi - des optiques à ampoule jaune qu’Ixo nous propose depuis quelques modèles, surmontant des clignotants blancs translucides. De profil, présence incongrue d’un rétroviseur extérieur non encore obligatoire et d’un trait de peinture censée représenter un  jonc chromé à la base des vitres latérales qui n’existe pas sur cette version de la 1500. Par contre il manque la serrure sur la portière du conducteur. L’intérieur est très soigné et avec le bon mobilier (sièges séparés à l’avant). Avec une belle colonne de direction. Le soubassement est peu détaillé et la miniature roule assez bien.
 

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18 octobre 2007 4 18 /10 /octobre /2007 08:44

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n° 115 du 22 octobre 2007

   
Présentation de la nouvelle RENAULT Laguna III
 
réf. Norev 77 11 423 246 pour la berline gris platine et 77 11 723 247 pour l’Estate gris ardoise

Réduites par Norev, elles nous restituent de manière très fidèle les lignes et volumes des originaux dans des livrées très réalistes. L’avant met bien en évidence la principale évolution du design de cette troisième version de la Laguna alors que le profil de la berline reprend celui de son aînée, la version II. C’est aussi à l’arrière que les modifications sont importantes avec une nouvelle poupe pour les deux modèles(1). Le profil met en évidence le non alignement des poignées de portière, plus basses à l’avant. Les roues laissent apercevoir les disques de frein avec leurs étriers. Comme toujours ce sont les versions haut de gamme qui nous sont proposées. Les intérieurs sont très soignés et d’une remarquable belle précision dans les détails. Les soubassements sont détaillés et les miniatures roulent bien.
(1) Une remarque, la berline dispose-t-elle d’un troisième feu stop placé tout en haut de sa lunette arrière ? Car même sur mes photos de la vraie prise au salon de l’auto de Lyon la semaine dernière, je ne l’aperçois pas. C’est peut être pourquoi Norev ne l’a pas représenté sur son modèle
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La Logan fabriquée en Russie sous le label Renault
 
RENAULT Logan Prestige de 2006 – Eligor – réf. 77 11 422 001

Réduite par Eligor, cette Logan nous est familière car elle reprend le moule des versions antérieures labellisées Dacia. Seule la présence du losange Renault au centre de la calandre et sur le coffre arrière, et des jantes différentes, permettent de les distinguer. Comme c’est devenu la norme, lignes, volumes et coloris correspondent à l’original. Logos et monogrammes sont présents. L’arrière bénéfice de feux colorés d’étrange manière. L’intérieur, gris foncé, est fort correct avec un mobilier bien dessiné. Le soubassement est gravé et la miniature roule bien.
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Six des nouveautés (presse) de la quinzaine

 CITROËN 2cv AZL de 1957 – Norev – collection 2cv, n° 103

Réduite par Norev, cette 2cv AZL de 1956 aux couleurs de Seb, reprend un moule que nous connaissons fort bien avec ses qualités et défauts sur lesquels je ne reviendrai pas. Par contre, sa finition est assez réussie avec, outre sa décoration commerciale discutable dans une collection qui se veut généraliste, un soin particulier apporté aux feux arrière orangés. Cette teinte donne l’illusion de feux rouges délavés par le soleil, comme cela arrivait fréquemment à l’époque. Une question cependant : à quoi correspond la surépaisseur sous le pare-chocs arrière ? Ce modèle ira rejoindre la 403 proposée par Ixo avec sa cocotte-minute sur le toit. Modèle susceptible d’avoir sa place dans un diorama.

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CITROËN DS19 coach « le Paris » de 1959 – Norev – collection DS Citroën, n° 10

Réduit par Norev, le coach DS 19 le Paris, n’est autre que celui proposé en mai 2006 sous le n° 10 de la collection DS19, y compris pour son immatriculation. Je reproduis ici ce que j’en disais alors. Cette version livrée par Norev est légèrement différente de la réduction sortie il y a quelques années dans une livrée bleue métallique, notamment au niveau du pare-chocs avant, qui ici, est dépourvu de butoirs en caoutchouc de part et d’autre de la plaque d’immatriculation. Corrigeant ainsi une erreur commise sur la première version. Un soin tout particulier semble avoir été apporté dans la restitution de nombreux détails. De face les essuie-glaces antagonistes sont présents à la base du pare-brise. Les chromes ornant capot et ailes avant sont au rendez-vous ainsi que les quatre optiques à ampoules jaunes. Le modèle est immatriculé. De profil tous les chromes de l’original sont reproduits y compris la bande de bas de caisse. Les monogrammes « le Paris » figurent à l’extrémité des ailes avant. Les clignotants arrière sont points. Les jantes ont leur centre doré comme sur l’original. L’arrière est sobre mais comporte tout de même de beaux blocs de feux arrière, chevrons et serrure sur le coffre. L’intérieur noir est peu visible et le soubassement peu détaillé.
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CITROËN H de 1964 – Ixo – collection Camionnettes d’antan, n° 67

Nous retrouvons pour la énième fois le moule Ixo qui nous restitue dans d’assez bonne manière les lignes et volumes du H avec son célèbre pare-brise aux angles trop droits et toujours l’absence de clignotants à l’avant. J’aurais préféré qu’ils y fussent en échange de quelques traces de rouille en moins. Ceci dit cela n’enlève rien au charme de ce modèle original même si la gravure de l’armoire révèle l’absence de poignées et/ou de serrures. D’ailleurs que transporte-t-il à l’intérieur pour l’avoir juchée sur le toit ? Les roues semblent équipées de pneus trop larges ou alors c’est la roue de secours qui est trop étroite. L’intérieur est toujours le même avec sa cloison derrière les sièges. Le soubassement est bien détaillé et la miniature roule bien.
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MERCURY Cougar cabriolet de 1969 – Universal Hobbies – collection James Bond, n° 22

Réduit par Universal Hobbies, ce cabriolet nous est proposé en situation sur une route enneigée. Si lignes et volumes sont correctement restitués dans une robe rouge, il faut bien en convenir, la carrosserie a quelque peu souffert. Les plaies et bosses sont assez réalistes sur les flancs et peut être à l’arrière. Par contre je suis quelque peu dubitatif devant l’aspect intact des optiques droit. Ceci dit cette miniature aura sa place dans un diorama aux côtés de la 2cv issue de la même collection (n° 05). De plus la présence de plaques temporaires françaises, de skis placés sur le coffre arrière et de figurines assez convaincantes, contribuent à l’intérêt de ce modèle d’autant qu’elle possède des roues avant braquées. Le soubassement est détaillé et la miniature roule mal.
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 04_etoiles.jpg pour un usage en diorama  
   

PEUGEOT 203 découvrable – Norev – collection Peugeot, n° 44

Réduite par Norev, cette 203 découvrable nous rappelle une version du commerce à livrée bleu foncé. Celle d’aujourd’hui a été accessoirisée au niveau de la calandre dotée de feux additionnels, calandre dite « Améric » due à Georges Héricourt (marque G.H.). Lignes et volumes sont bien rendus malgré une robe un peu trop rose par rapport à la livrée d’origine un poil plus soutenue. L’ensemble est fort plaisant et intéressant du fait de cette calandre qui tente de donner un aspect agressif à cette berline des plus paisibles.  Le profil est soigné avec des roues à flanc blanc typiques de l’époque. Dommage que les filets de peintures représentant les joncs chromés soient si larges. L’arrière est soigné mais correspond à modèle postérieur à 1954 en raison de la forme de la plaque et de son éclairage. La capote est bien rendue. L’intérieur tente d’imiter le cuir rouge. Le soubassement n’est pas détaillé mais la miniature roule bien.

Pour plus d’informations sur les calandres de 203, cette excellente page web http://les203.free.fr/lescalandres.htm

 
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VOLKSWAGEN Golf II GTI de 1984 – Ixo – collection Voitures d’antan, n° 93

Réduite par Ixo, cette Golf, deuxième génération, nous est assez bien restituée dans ses lignes et volumes dans sa tunique rouge des plus emblématiques de ce modèle. Amis collectionneurs, mettez la bien de côté car c’est un produit Ixo première époque, certainement bientôt un vestige, voire un collector. L’avant est correct avec sa calandre plate et ses grosses optiques très réussies avec leur gravure. Le profil est honnête mais souffre d’une mauvaise gravure de la rainure qui court sur toute la longueur de la caisse et se poursuit sous le haillon arrière. Les roues semblent correctes. L’arrière aussi souffre de l’absence de cette rainure. La lunette arrière parait manquer d’hauteur. L’intérieur noir est fort bien reproduit. Le soubassement est peu détaillé mais la miniature roule bien. 
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10 octobre 2007 3 10 /10 /octobre /2007 14:21

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n° 114 du 15 octobre 2007

   

Les semaines se suivent mais ne se ressemblent pas. Et c'est tant mieux. Aussi vais-je vous présenter une partie des nombreuses sorties presse de la semaine du 08 au 13 octobre 2007. Deux autres sont prévues. Je vous les présenterai dans le n° 115. Bonne lecture. 

   

Six des nouveautés presse de la semaine

CHRYSLER Airflow Sedan de 1936 – Ixo – collection Voitures classiques, n° 49
Réduite par Ixo, cette Airflow nous propose des lignes et volumes fort bien reproduits. Toutefois, pour avoir déniché l’original, il est dommage que sa robe ne soit pas gris aluminium mais seulement gris souris, mais encore qu’elle ne soit pas monocolore comme à son origine, puisque nous nous trouvons en présence d’un modèle restauré. Ceci dit cela n’enlève rien à l’aspect imposant de ce modèle et à la qualité de sa présentation. Toutefois, il faut bien reconnaître, qu’une fois encore les restylages sont préjudiciables à l’homogénéité du dessin initial. Mais bon, là n’est pas notre propos. L’ensemble du tour extérieur n’appelle aucune remarque particulière tant les détails sont bien à leurs places, sauf… Et oui, sauf les serrures de portières qui ont été omises. Peccadilles quand on voit la finesse de reproduction des grilles des feux arrière. L’intérieur, Cuisse de nymphe, permet devoir le mobilier très classique de l’époque et une belle planche de bord. Le soubassement est détaillé et la miniature roule bien.
Pour retrouver l’exemplaire qui a servi de modèle à Ixo : http://www.hotautoweb.com/36airflow.html
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MERCEDES coupé CLS 500 de 2004 – Ixo – collection Mercedes, n° 06
Réduit par Ixo, ce coupé imposant est bien restitué tant dans ses lignes que dans ses volumes et dans une livrée très convaincante. L’avant n’appelle pas de remarque particulière dans son traitement, si ce n’est le creux surplombant l’étoile de la marque où devrait se trouver l’écusson ornant l’extrémité du capot – du moins sur l’exemplaire en ma possession. Les optiques sont bien dessinées. De profil je suis surpris du traitement des contours des vitrages alors que l’on sait que ce coupé est dépourvu de tout encadrement des vitres descendantes. Seul le jonc chromé qui en fait le tour devrait être présent et le pilier central lisse et noir. De plus si l’on voit les disques des freins au travers des jantes, ceux-ci sont dépourvus de leurs étriers. L’arrière est correct avec ses deux sorties d’échappement ovales. L’intérieur met bien en évidence qu’il s’agit d’une stricte quatre places et bénéficie d’une très jolie planche de bord. Le soubassement est peu détaillé mais la miniature roule bien.
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RENAULT R4F6 de 1986 – Universal Hobbies – collection Mythique R4, n° 05
Réduite par Universal Hobbies, cette fourgonnette 4F6 nous est familière car étant aux couleurs d’une enseigne très connue, qui, j’espère a contribué au financement de ce modèle. Si les lignes, volumes et coloris sont corrects il y a un point qui interpelle mon regard depuis le début. C’est le positionnement des roues arrière qui donne une allure exagérément reculée à celle-ci alors que l’empattement retenu est approximativement intermédiaire entres les deux de l’échelle 1. Ceci dit, cela n’enlève rien à la qualité de présentation de ce modèle, ni d’ailleurs le jonc chromé qui court inutilement le long de la gouttière. Le tour du propriétaire ne relève pas d’autres détails si ce n’est une ligne d’échappement trop apparente à mon goût et de belles poignées rapportées. L’intérieur spartiate est bien rendu. Le soubassement, gravé, souffre toujours d’un puits de fixation trop prohéminent. La miniature roule bien.
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RENAULT R8 Gordini de 1968 – Eligor – collection Alpine et Renault sportives, n° 05
Encore une R8 Gordini, direz-vous ! Oui mais cette fois ci siglée Eligor. Lignes, volumes et coloris bleu France, sont bien présents ainsi que les deux célèbres bandes blanches qui ont jadis transfiguré bien des R8 de série. Donc rien à redire sur la gravure de ce modèle, ni sur sa décoration des plus sobres et comme on n’en voit plus aujourd’hui. Toutefois pourquoi l’immatriculation avant n’est-elle pas sur fond blanc et les phares sans ampoule jaune. Encore un combat qu’il va falloir reprendre. Messieurs les réducteurs, respectez les prescriptions de l’époque. Pas celles d’aujourd’hui. Le reste de la voiture n’appelle pas de remarques particulières. Un bon modèle des plus classiques avec son intérieur noir, un soubassement détaillé et une miniature roulante.

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RENAULT R12 break de 1971 – Norev – collection Voitures françaises, n° 135
Réduit par Norev, ce break est connu des collectionneurs de presse pour avoir déjà été proposé dans la livrée jaune de la Poste et celle bleu clair de la Gendarmerie de l’air, alors qu’ici il représente l’ultime livraison de la collection consacrées aux voitures françaises. Nous retrouvons donc sans surprise les lignes et volumes de l’original. L’avant est fort réussi avec une calandre et un appareillage très fin. Le profil est honnête avec même le petit triangle métallique à la base de la vitre arrière et des poignées de portières rapportées. Les roues dispose du curieux enjoliveur de la vraie. A l’arrière les feux sont correctement colorés. L’intérieur noir reste fidèle à la finition légère de cette collection. Par contre le soubassement est détaillé et la miniature roule bien.

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RENAULT R18 proto 4x4 – Norev – collection Légende du Dakar, n° 31
Réduit par Norev, ce break nous est familier pour avoir déjà servi de base à la version utilisée sur le paris-Dakar 1984 dans une livrée aux couleurs de Facom. Nous retrouvons donc une caisse aux lignes et volumes fort bien restitués et à la gravure très fine. La décoration est des plus complètes. A noter que les bavettes de protection n’ont pas les mêmes dimensions que celles de l’édition 1984 et la présence de poignées de maintien à la base du pare-brise. L’avant met en évidence la plaque de protection de l’ensemble mécanique alors que le profil permet de voir l’ampleur de la garde au sol, surtout à l’avant. De plus, les panneaux de custode étant vitrés sur ce modèle, il est plus facile d’apercevoir la roue de secours fixée au dos de la banquette arrière malgré un intérieur entièrement noir. Le soubassement n’est détaillé qu’au niveau du pont arrière. La miniature roule bien. Encore un beau modèle.

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5 octobre 2007 5 05 /10 /octobre /2007 14:09

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n° 113 du 08 octobre 2007

   
L’extrême rareté des nouveautés presse cette semaine est pour moi l’occasion de vous présenter l’analyse de trois des premiers modèles de la nouvelle marque IST appartenant au groupe produisant la marque IXO.
   

Trois nouveautés du commerce traditionnel

BARKAS B1000 van de 1956 – Ist – réf. IST003
Réduit par Ist (j’ai faillit écrire Ixo par habitude, ce qui ne serait pas totalement faux puisque provenant du même site de fabrication), ce van très imposant nous restitue d’assez belle manière ce que l’ex RDA produisait alors. Lignes, volumes et coloris sont très réussis. Notons également la finesse des essuie-glaces. L’ensemble de la carrosserie est très finement reproduit et n’appelle aucune remarque particulière sinon l’absence de tout vitrage sur les côtés, y compris les petites vitres secondaires. L’arrière dispose de jolis feux rapportés bien proéminents. Les rares monogrammes sont représentés. L’intérieur est finement reproduit dans les tons crème et gris clair avec une jolie planche de bord et une demi-cloison derrière les sièges. Le soubassement est détaillé et la miniature roule bien.
 
Curieux :
1 - S’agissant de la reproduction d’un van, il est étrange d’y trouver deux rangées de trois places dans le compartiment arrière. Ce qui laisse supposer la sortie prochaine d’une version minibus toute vitrée latéralement.
2 – Le nom du fabricant n’est pas indiqué sur le soubassement.
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GAZ M20 Pobieda de 1955 – Ist – réf. IST002
Réduite par Ist, cette Pobieda, premier véhicule soviétique à ligne ponton, nous est proposée d’assez jolie manière dans une livrée crème très légère laissant bien apparaître les joints de tôle. Lignes, volumes et encombrement sont au rendez-vous. Notons une nouvelle fois la finesse des essuie-glaces et l’imposante calandre de ce modèle. L’ensemble de carrosserie, mélange de 203 Peugeot et de Ford Vedette, n’appelle pas de remarque particulière. Pour une fois, les « roues de tracteurs » correspondent à la réalité. L’arrière très dépouillé est bien rendu avec ses petits feux rouges. L’habitacle, crème lui aussi, mérite un regard approfondi car si le mobilier se limite à deux banquettes assez rustres, c’est vers la colonne de direction qu’il faut s’attarder pour découvrir l’étrange forme du levier de vitesses. Le soubassement bénéficie d’une belle gravure et d’une ligne d’échappement peinte. De plus la miniature roule bien.
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GAZ Volga 3110 de 1997 – Ist – réf. 006
Dans sa livrée prune, cette 3110 réduite par Ist, nous restitue de très jolie façon les lignes et volumes simplistes de la vraie, toujours aussi imposante, aux traits inspirés des Volvo des années 70. L’ensemble de la carrosserie appelle très peu de remarques si ce n’est une gravure moins bien visible que sur les deux autres modèles. A l’avant jolie calandre rapportée à entourage chromé. Monogrammes et logos sont bien présents. Les roues sont correctes. A l’arrière les feux sont uniquement rouges. L’intérieur, gris foncé, bénéficie d’une belle gravure qui souligne la forme de son mobilier. A noter que sur ces trois modèles la vitre avant droite est elle aussi absente, ce qui facilite la vue de l’intérieur. Le soubassement est détaillé et la miniature roule bien.
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La seule des nouveautés presse

CITROËN Type 23 de 1936 - Universal Hobbies – collection Passion Citroën, n° 82
Réduite par Universal Hobbies, cette version plateau à ridelles du type 23 est des plus séduisantes malgré un coloris trop brillant à mon goût. Mais il ne s’agit pour nous que d’une nouvelle version de ce camion que l’on a connu bâché et gris dans la collection de la Poste, sous le n° 44. Lignes et volumes sont au rendez-vous avec une fidélité qu’il convient de souligner. Jusqu’à la calandre qui est très acceptable cette fois-ci alors qu’il en va très souvent autrement pour les tractions. Le fait de ne pas l’avoir immatriculé a dispensé UH de l’apposition de la plaque bleue avec le nom du département et l’absence de toute bâche une économie. Même les poignées de fixation des volets du capot sont correctement représentées. Le châssis mérite aussi qu’on le détaille. Merci le plastique ! Rien ne semble avoir été oublié, même à l’arrière où roues jumelées cohabitent avec des feux très réalistes. La cabine des plus sommaires est bien rendue, avec sur l’exemplaire acheté des rayures dans un angle du pare-brise, comme si celui-ci avait reçu un choc. Très réaliste ! Le soubassement est très détaillé et la miniature roule bien. J’en redemande, mais en moins brillant.
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Collection SIMCA, par abonnement

TALBOT Samba Rallye de 1983 – Ixo – collection SIMCA, n° 19
Réduite par Ixo, cette nouvelle Samba est plutôt réussie car l’on retrouve facilement l’original, très proche de l’Horizon. Pour une fois la peinture blanche ne paraît pas trop épaisse. L’avant est assez fin avec ses essuie-glaces noirs et une belle prise d’air sur le dessus du capot. L’ensemble optiques et calandre est correct avec le logo Talbot en son milieu, de même que le bouclier. De profil, l’inclinaison de la calandre est bonne mais cette dernière gagnerait à être moins enfoncée pour être affleurante à l’arrête du capot. Les jantes alu correspondent au modèle de série apparu en janvier 1983. La déco est correcte de même que la forme des vitrages. A l’arrière, belle lunette arrière avec son désembuage très discret et présence des monogrammes sur la bande noire qui la souligne. Jolis feux arrière et bouclier correct complète l’ensemble. A l’intérieur, honnête  mobilier gris avec planche de bord correcte. Dommage que les contreportes noires tranchent autant avec le blanc de la carrosserie. Le soubassement n’est pas détaillé mais la miniature roule bien.
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Bonus

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1 octobre 2007 1 01 /10 /octobre /2007 08:10

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n° 112 du 01 octobre 2007

   
Une nouvelle marque est née

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Proposée par PREMIUM & COLLECTIBLES TRADING CO. LTD, qui produit déjà les marque Ixo et J Collection, IST Models nous propose les voitures de l’ex block de l’Est. Je reviendrais plus en détails dans les prochains numéros de Collec’Hebdo 43 sur les trois premiers modèles que je me suis procurés et que j’analyserai. Je me contenterais aujourd’hui de parler de leur présentation. Le boîtage est très visuel. Difficile de la confondre avec un autre. Et c’est du costaud. Mais dès le premier regard : tiens c’est curieux, les indications portées sur les socles ne sont pas présentées de la même façon. Au sortir des boîtes, nouvelle surprise. Recours aux vis cruciformes. Oui, mais attention, trois voitures, trois vis de diamètres différents dont une à tête rouillée qui devait dater de plus de vingt ans, d’avant la chute du mur, nécessitant le recours aux pinces. Je m’y suis cru un instant. Trêve de plaisanterie. Cette production – j’avais écrit collection par habitude - s’avère des plus intéressantes à suivre car devant compter de nombreux inédits aux côtés de reprises de modèles déjà proposés par d’autres réducteurs. La qualité paraît être au rendez-vous. Elle arrive au bon moment, au moment où plusieurs collections s’arrêtent ou s’essoufflent. A suivre donc…

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Cinq des nouveautés de la semaine (presse)

AUSTIN Mini pick-up de 1962 – Ixo – collection Camionnettes d’antan, n°66
Réduit par Ixo ce petit pick-up nous est proposé dans une livrée très originale et so british de vendeur de crèmes glacées. Je ne parlerai pas ici de présentation d’opérette puisque c’est le thème même de cette collection. Nous retrouvons avec plaisir les lignes et volumes du van (n° 33 de cette collection) dont la partie supérieure a été enlevée et remplacée par un gros appendice servant d’abri au vendeur ambulant, d’ailleurs absent de son poste. Dommage ! C’est que sa position devait être très inconfortable s’il était de grande taille. Etre contorsionniste devait être requis pour servir les clients.  L’ensemble est plaisant et finement détaillé et décoré. Il ira très bien aux côtés du Citroën H vendeur de pizzas. Notez que c’est une conduite à gauche alors que le van était une conduite à droite. Le soubassement est un peu détaillé et la miniature roule mal.
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BUGATTI Royale de 1933 carrossée par Park Ward – Ixo – collection Voitures classiques, n° 48
 Réduite par Ixo, cette Royale, paraît des plus réussies lorsqu’on la regarde à distance. Si les lignes et volumes sont bien proportionnés et élégants dans cette livrée noire, il n’en demeure pas moins qu’il y a un loup dans cette réduction. En effet, tout réside dans le diamètre des roues qui est trop petit. Et je ne parle pas du dessin des jantes qui représente en creux son centre qui est en réalité en léger relief. Non je m’intéresse qu’au diamètre des roues car il va conditionner les proportions de cette miniature. Il suffit de se reporter aux photos de la vraie pour s’en convaincre. Je m’explique : L’articulation des volets du capot moteur se situe légèrement en dessous du haut des roues de secours logées sur les ailes avant. Ce qui se retrouve aussi sur la miniature. Hors, comme je l’ai écrit plus avant, celles-ci sont de trop petit diamètre. Ce qui se répercute sur la hauteur trop faible du capot moteur et par la suite aura aussi la même incidence sur la hauteur des vitrages. Si vous regardez la miniature de face vous constaterez que l’écusson Bugatti se trouve placé juste au-dessus du sommet des phares alors que sur la vraie il existe un bon espace entre les deux plans. Ceci dit cela n’enlève rien à la majesté de la miniature mais nuit à l’harmonie des Royale de cette collection. Dommage que l’arrière soit dépourvu du porte malle visible sur son modèle et qu’il manque la séparation vitrée dans l’habitacle pourtant bien reproduit par ailleurs, avec ses strapontins relevés. Le soubassement est peu détaillé et la miniature roule mal, train avant bloqué.
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MERCEDES 190SL de 1956 – Ixo – collection Mercedes, n° 5
Réduit par Ixo, ce cabriolet nous replonge de belle manière dans le milieu des années 1950. Lignes et volumes sont au rendez-vous dans une belle livrée crème à intérieur de « cuir » rouge. La belle est séduisante et plus d’un y succombera. L’avant est très réussi avec une belle calandre au grillage très fin. Seul l’entourage métallique des clignotants est absent. Le profil est honnête mais l’œil est attiré par le mauvais dessin du passage des roues avant qui manque d’arrondi vers l’avant. De plus le tracé des joncs chromés qui courent le long des nervures des ailes n’est pas des plus exacts. Par contre, les roues sont bien correctes. L’arrière dépouillé et fuyant de l’original est bien reproduit avec des feux bicolores. Logo et monogramme sont présents au-dessus de la serrure du coffre. L’habitacle est très bien reproduit avec une grande finesse dans les détails. Jolie planche de bord et grand volant qui touche presque l’assise du siège, ne permettant pas d’asseoir une figurine derrière lui. Le soubassement est détaillé et la miniature roule difficilement.
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RENAULT 11 Turbo de 1985 – Ixo – collection Voitures d’antan, n° 92
L’original – L’échec commercial de la R14 a conduit Renault à revenir à un design plus classique qui Réduite par Ixo dans son emblématique robe rouge, cette R11 Turbo nous ramène à la première époque de ce réducteur, celle de l’antéscanner. Elle ne fait que trop brièvement illusion dans le rendu des lignes et volumes de la vraie. La faute certainement à une gravure trop arrondie et assez approximative qui ne restitue pas du tout le style rectiligne et anguleux de cette Renault. Cela devient flagrant si elle est placée à côté d’une version 5 portes d’origine Norev dont la gravure est très fidèle. Outre cette approximation dans le dessin il convient de signaler un loupé au niveau de la base du pare-brise, où, à l’instar de ce qui était arrivé sur la Fuego de la collection espagnole – et corrigé sur la version française -, les essuie-glaces sont placés sur la carrosserie alors qu’il manque le creux garni de plastique noir dans lequel ils sont ancrés. Si les roues et la décoration des flancs sont correctes il n’en va pas de même du dessin du passage de roues arrière trop circulaire. De plus, bien que l’empattement soit correct la roue arrière paraît trop rejetée vers l’arrière. Cette impression doit résulter du dessin du panneau de custode. L’arrière paraît correct mais il y manque les extensions des feux de part et d’autre de l’immatriculation. Le mobilier de l’habitacle est curieux : si l’ensemble est gris souris, les deux sièges avant sont noirs ! Le soubassement est un peu détaillé et la miniature roule mal.
Pour en savoir plus sur la Renault R11 Turbo http://www.guide-des-gti.fr/guide/renault/11_turbo.php
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SIMCA P60 Ranch de 1960 – Ixo – collection Simca, n° 18
Y-a-t-il un sort jeté sur la réduction de ce modèle, car après Norev qui nous en a proposé un trop étroit, voici qu’à son tour Ixo, nous propose un modèle imparfait. En effet, son pavillon manque de bombé (1), ce qui est flagrant lorsque l’on regarde l’arrière. De plus, il est difficile, une fois encore, d’identifier l’année modèle reproduite car la reproduction d’Ixo comporte butoirs avant et les enjoliveurs de roues du prototype alors que les flancs ne sont soulignés que par un jonc chromé horizontal de l’année modèle 1961. Ceci dit toute la partie antérieure à la base du pare-brise est fort réussie malgré un jonc de capot superflu. Le profil souffre du pavillon trop bas qui influe aussi sur le dessin de l’arrière dont la partie située au-dessus de la ceinture de caisse manque de rondeurs. De plus les roues sont de trop grand diamètre – phénomène de plus en plus récurent ces derniers temps, quel que soit le réducteur d’ailleurs. Il manque le sigle Simca en haut et à droite de la partie basse du hayon. Notez l’embout d’échappement accessoirisé. Ceci étant, l’intérieur coloré nous propose une version avec la banquette arrière repliée mais aussi, à l’avant un bien curieux aménagement composé d’une banquette à dossiers séparés, à la place de deux sièges indépendants. Est-ce une astuce pour réaliser une économie ? Toujours est-il que cette présentation ne fera pas double emploi avec celle du Ranch 1961 proposé par Norev qui souffre, lui, d’une étroitesse très importante. Le soubassement est détaillé mais la miniature ne roule pas du tout – maladie chronique chez Ixo.
(1) Ne pas oublier que toute la cellule arrière est celle des modèles antérieurs.
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21 septembre 2007 5 21 /09 /septembre /2007 13:57

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n° 111 du 24 septembre 2007

   
Une entorse au 1/43ème
 
Pour une fois qu’un éditeur s’intéresse à Simca, en dehors de la collection du même nom, je me devais d’en parler ici, même si les réductions sont au 1/87ème. En effet, le n° 23 de la collection L’âge d’or des voitures françaises est consacré à la Simca P60 en nous proposant une Etoile 6 et une Monthléry de bonne facture mais desservies par des roues de trop grand diamètre, ce qui est fort regrettable.
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Collection Michelin, le retour
 
Alors que la collection Michelin poursuit son petit bonhomme de chemin, Altaya vient de prendre la décision de la relancer avec, cette semaine la parution de son numéro un, la fameuse Citroën Acadiane, disponible au prix d’un euro. Le programme annoncé étant identique à la collection en cours, cette rediffusion devrait permettre à ceux qui l’ont loupé ou ont raté un (ou plusieurs) numéro(s) de combler un vide. 

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voir son analyse dans le n° 22 de collec'Hebdo 43 du  6 janvier 2006

   

Quatre des nouveautés de la semaine (presse)

0710 - ASTON-MARTIN DBSUniversal Hobbies – collection James Bond, n° 21
Réduite par Universal Hobbies, cette DBS, bien que senser représenter celle utilisée par James Bond dans Casino Royale, est très proche du modèle de série dont elle nous restitue très bien les lignes et volumes, ainsi que la robe. Aussi envoutante que l’originale, cette réplique bénéfie d’une bonne finition avec des optiques avant à la gravure complexe. Le capot et la calandre sont corrects. Le profil élancé se marie bien avec les roues « charrettes » laissant voir les disques des freins. L’arrière est bien dessiné mais souffre d’un manque de rouge au niveau des feux arrière, il est vrai desservi par la mode actuelle des ensembles « blancs ». La lunette laisse voir l’extincteur posé sur la banquette arrière alors que la vitre baissée côté passager permet de découvrir un pistolet placé dans un tiroir sous la planche de bord. Pas de figurines avec ce modèle. Le soubassement est peu détaillé mais la miniature roule bien.
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0711 - CITROËN 2cv6 de 1974 – Norev – collection Passion Citroën, n° 81
Réduite par Norev, une fois n’est pas coutume dans cette collection, cette 2cv6 reprend le moule que nous connaissons bien et qui a servi notamment à la trilogie des Charleston, avec les qualités et défauts qu’on lui connaît déjà. Notons l’absence de rétroviseur extérieur gauche sur ce modèle au coloris très criard correspondant assez approximativement à un de l’époque et coiffé comme Riquet. L’arrière dispose de feux correctement colorés et le monogramme 2cv6 y figure. Mais ce qui fait son véritable attrait c’est la décoration de ses sièges, très réalistes mais également trop brillante qui leur donne un aspect métallique. Beau travail également dans le rendu des contreportes. Un modèle réussi malgré la houppe très généreuse de la capote roulée. Soubassement détaillé avec ses suspensions, Norev oblige. La miniature roule bien.
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0712 - JAGUAR concept-car R-D6 de 2003 – Norev – collection Concept-cars, n° 16
Réduit par Norev, ce concept-car nous restitue de très jolie façon l’aspect ramassé, trapu et puissant de l’original dans une robe métallisée du plus bel effet. L’avant dispose d’une grille de calandre ouvragée très finement. Les optiques sont soignées. Le profil met en avant l’antagonisme des portières. Notez la position particulière des étriers des disques avant placés à 2 ou 10 heures suivant le côté que l’on regarde et non à 3 ou 9 heures comme généralement. Le traitement de l’arrière est très sobre. Il est cependant dommage que les feux cristal ne bénéficient pas même d’un point rouge. L’intérieur est bien reproduit avec quelques touches argentées et un dessus de planche de bord brun. Le soubassement est détaillé et la miniature roule bien.
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0713 - PEUGEOT 402 taxi – Norev – collection Peugeot, n° 42
Réduite par Norev, cette 402 reprend le moule que nous connaissons déjà dans une livrée bleu nuit du n° 34 ou verte avec gazogène du n°37 de cette même collection. Au moins cette dernière s’en différenciait par un arrière qui lui était personnel. Aussi, retrouvons nous des lignes et volumes correctement reproduits et bien servis par une calandre laissant voir les phares placés derrière elle – et non celle trop épaisse de la version du commerce traditionnel qui les occulte. Comme sur les autres, le traitement du pare-brise manque de finesse dans sa présentation. Et sa robe ! Je ne suis pas convaincu que les coloris d’alors fussent si vifs. Notons encore une fois l’absence de représentation des puits des flèches de direction entre le capot moteur et les portières avant. Les roues sont fidèles et les flammes sur les ailes arrière, à tête de lion, bien présentes. Le coffre est reproduit avec l’ensemble plaque d’immatriculation et éclairage arrière. Pour terminer avec l’extérieur, signalons la présence du taximètre côté droit, information du client oblige. L’intérieur, noir, est très peu visible du fait des faibles surfaces vitrées. Le soubassement est détaillé et la miniature roule bien.
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Made in Spain
 
0714 - SUZUKI Santana – Ixo – collectionNuestros queridos coches años 80, n°34
 Réduit par Ixo pour cette collection espagnole, ce petit 4x4 nous est proposé dans des formes et volumes reflétant très bien le vrai. Haut perché et dans une livrée très ONF malgré sa décoration latérale, il présente bien l’aspect rural de son usage de prédilection. Sa finition est très correcte mais les clignotants avant devraient partager leurs emplacements avec des veilleuses blanches. Le profil met en évidence les ressorts à lames des suspensions derrière d’assez belles roues au dessin réussi. L’arrière dispose de feux multicolores et permet de voir le pont rigide du train arrière. L’intérieur gris permet de découvrir le mobilier qu’il abrite et une fort honnête planche de bord. Le soubassement est bien détaillé et gravé – mérite la dépose de la miniature qui roule bien.
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