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25 mai 2014 7 25 /05 /mai /2014 13:55
2014 Quinzo43 titre
 
 n° 07/452 du 26 mai 2014
 
 Modèles presse
 

FIAT 643-690 de 1960

Ixo/Altaya – collection des Camions d’autrefois, n° 108

 

Il est vraiment temps que cette collection se termine et que l’on puisse passer à une autre collection. En effet, nous avons droit à un nouveau doublon avec ce petit camion citerne. D’accord, lorsqu’il nous fut proposé pour la première fois dans cette même collection, sous le n° 10, (cf. le n° 237 de CH43, daté du 22 février 2010), il était aux couleurs du pétrolier italien AGIP et aujourd’hui il s’agit d’un camion aux couleurs d’une société portugaise. Mais il s’agit bien du même camion citerne. Ses lignes et volumes sont fidèles. L’avant reçoit la calandre ovale Fiat avec son imposant écusson rouge. Phares et clignotants sont des éléments plastiques rapportés. Le pare-brise est bien proportionné et reçoit des essuie-glaces suspendus. Les rétroviseurs extérieurs ont bien la forme originale des vrais. La partie citerne est moulée simplement mais est très acceptable avec son échelle latérale, ses cinq couvercles et ses portières arrière. Les feux sont en plastique rouge. L’intérieur de la cabine est, lui aussi, bien détaillé avec, outre le poste de conduite avec tableau de bord à cadrans et la colonne de direction crème, l’imposant tunnel recouvrant le moteur et le siège passager avec accoudoirs. Si le traitement du châssis est standard, ce sont ses à côtés qui sont intéressants. D’abord, côté gauche, deux vannes de vidanges (sécurité ?) et un petit rangement fermé par un rideau coulissant. Puis côté droit, outre l’échelle, cinq bondes pour les livraisons à destination des cuves et citernes, et un tuyau (fictif) sur enrouleur. Le dessin des roues artillerie est soigné. Une question cependant : si ce camion est bien doté d’une sortie d’échappement « spéciale transport de carburants » placée juste derrière le pare-chocs avant, pourquoi est-il aussi doté de ce qui semble bien être une ligne d’échappement courant sous le châssis et s’achevant au-dessus du pont arrière ?
4973GR Fiat 643 citerne 
 

FSO Polonez 1500

Ixo/Altaya – collection des Taxis du monde, n° 45 (Varsovie, 1981)

 

Il y a quelque chose qui me gêne dans le rendu des lignes de cette Polonez. Et par conséquent dans celui de ses volumes. En fait, ce n’est pas le rendu de la carrosserie qui est en cause, mais seulement sa garde au sol, trop faible. Les spécialistes auront vite fait d’y remédier.  Les essuie-glaces sont rapportés, en plastique noir, alors que les rétroviseurs extérieurs sont couleur carrosserie. La proue est entièrement noire, calandre et bouclier. Elle accueille six optiques, rapportées en plastique translucide et des ensembles veilleuse-clignotant seulement orange. Le dessin des voiles de roue semble fantaisiste. Les blocs des feux arrière, rapportés et en plastique, sont seulement rouges.  Le pavillon est surmonté de barres de toit supportant le panneau taxi. Le mobilier intérieur est entièrement noir. S’il est bien détaillé, il n’y a pas de cadrans au tableau de bord. Par contre le soubassement est bien détaillé et gravé en quasi 3D.

4978GR FSO Polonez taxi 
 

TALBOT-MATRA Murena de 1981

Ixo/Altaya – collection des Voitures françaises d’autrefois, n° 59

 

Déjà vue en son temps, notamment, sous le n°13 de la collection dédiée à SIMCA,(cf. le n° 99 de l’alors Collec’Hebdo 43, daté du 02 juillet 2007), mais aussi en version boutiques sous la référence CLC168 (cf. le n° 201 de l’alors Collec’Hebdo 43, daté du 15 juin 2009), cette Murena est toujours un enchantement pour l’œil. Car, elle continue à nous restituer très fidèlement les lignes et volumes de l’original. Seul petit grief qui persiste encore aujourd’hui, une découpe trop rectiligne des vitres de custode. Pour le reste, c’est le plaisir des yeux. Des jantes perforées magnifiques, une lunette arrière où moult détails sont présents (auxquels nous n’étions plus habitués) et qui permet de voir les couvre moteur et couvre bagages. L’habitacle est lui aussi très réussi. Si la planche de bord, avec son volant au dessin fidèle, retient l’œil, il vous faut cependant vous attarder sur les trois sièges de dimensions et formes différentes. N’oubliez pas que le dossier du siège central pouvait se rabattre vers l’avant pour faire accoudoir. Le soubassement est peu détaillé. Du très bel ouvrage mais un petit peu simplifié côté présentation par rapport à celle de la collection Simca dont les sièges étaient d’une couleur plus claire que le reste du mobilier de l’habitacle et où la planche de bord était noire. Aujourd’hui nous n’avons plus droit qu’à un habitacle au mobilier uniformément lie de vin. Et il n’y a plus d’antenne radio sur le pavillon.
4980GR Talbot-Matra Murena 
 

VOLKSWAGEN Santana de 1981

Ixo/Hachette/AutoPlus – collection des Classiques de l’automobile, n° 112

 

Mystères de la diffusion… Cette collection qui a eu une éclipse de deux numéros est réapparue sans cire « Gare ! »… M’enfin !?!

 

La première chose qui m’a sauté aux yeux, outre sa livrée boisson chocolatée, fut le diamètre exagéré des roues qui emplissent trop les passages de … roues. A croire que cette Santana est montée sur échasses. C’est vraiment dommage car ce modèle, issu de collections étrangères (notamment, espagnole et brésilienne), comble un vide dans les collections françaises. Nous retrouvons facilement les lignes et volumes assez classiques de l’originale. Elle bénéficie d’une bonne gravure et d’un niveau de finition des plus corrects. Avec des essuie-glaces assez fins, rapportés, en plastique noir. Tout comme les deux rétroviseurs extérieurs. La gravure de la large grille de calandre est soignée et arbore le logo de la marque. Les blocs optiques sont rapportés, en plastique translucide. Dommage, une fois encore que les phares ne soient pas jaunis. Outre leur taille trop grande, les roues sont d’un dessin très réaliste et fidèle. Les vitrages sont de type affleurant.  Les feux arrière, rapportés, sont correctement colorés et surmontent les monogrammes Volkswagen et Santana, phototamponés. Si le plancher et la plage arrière sont noirs, les autres composants du mobilier intérieur sont gris souris. L’ensemble est bien détaillé, à l’exception des cadrans du tableau de bord qui brillent par leur absence. Le soubassement n’est pas du tout détaillé. 
4972GR Volkswagen Santana b 
 

Retour sur le test pour une collection Lamborghini

 

Grâce à un généreux expéditeur (que je remercie chaleureusement) je suis aujourd’hui en mesure de vous présenter les modèles proposés en n° t01 et t04 après vous avoir présenté le n° t02 dans le numéro 05/450 de QUINZO43 daté du 28 avril dernier.

 

LAMBORGHINI Gallardo de 2003

Ixo/Hachette/AutoPlus – test pour une collection Lamborghini, n° t01

 

Tiens, ce premier numéro de ce test me rappelle celle que nous avons connue il y a presque dix ans dans le cadre de la collection des Voitures de rêve sous le n° 26, (cf. le n° 17 de l’alors Collec’Hebdo 43 qui démarrait sa parution, daté du 02 décembre 2005). S’agissant d’une reprise du moule utilisé alors, le commentaire d’aujourd’hui sera très proche de celui écrit à l’époque. Nous nous trouvons dans une belle réalisation aux lignes tendues qui restituent le caractère trapu et ramassé de cette Lamborghini. Par contre, la belle couleur blanc nacré de la première a été abandonnée au profit d’une livrée orange des plus classiques. Les roues sont dotées de jantes alu bien détaillées avec les disques de frein visibles, mais toujours dépourvus d’étriers. L’intérieur est entièrement noir et assez bien détaillé. Dommage que le volant soit toujours reproduit selon un cercle parfait alors que l’original comporte une partie plate à sa partie inférieure. Les cadrans du tableau de bord sont bien présents. Mais plus de levier de vitesses devant celui du frein à main. Le soubassement à fon plat est détaillé. 
4974GR Lamborghini Gallardo 
 

LAMBORGHINI Countach LP400 S de 1978

Ixo/Hachette/AutoPlus – test pour une collection Lamborghini, n° t04

 

Là aussi, il y a un grand air de déjà vu, puisqu’une Countach LP400 S nous fut déjà proposée en son temps dans la collection des Voitures de rêve, le n° 04, dans une belle livrée rouge, alors que Collec’Hebdo 43 n’avait pas encore vu le jour. Revoilà donc cette Countach LP400 S… Mais que ce passe-t-il ? Si l’on met les deux modèles côte à côte, l’œil décèle un léger embonpoint de la nouvelle version (la bleue) par rapport à l’ancienne (la rouge). Et pour s’en assurer, si l’on se rapproche davantage, l’on découvrira de nombreuses différences dans la gravure des moules. Oui, j’ai bien écrit des moules. Au pluriel. Car il semble bien qu’Ixo ait dû faire appel à un nouvel appareillage pour nous proposer cette nouvelle version. Je ne m’étalerai donc pas sur le rendu des lignes et volumes de l’original, qui est fort correct, mais sur les détails qui divergent entre les deux réalisations. A commencer donc par une carrosserie plus volumineuse et aux courbes accentuées pour la nouvelle version. Sa gravure, plus fine et lisible, diffère par endroits de celle de la première version. Les bulles des optiques carénées sont – à tort – plus généreuses. L’extrémité de la proue est plus plate. Elle a perdu les deux optiques additionnelles rapportées, remplacées par deux simples moulures peintes. Le mouvement de la ligne de caisse est plus accentuée aujourd’hui. Les entrées d’air latérales, placées au-dessus des passages des roues arrière sont aujourd’hui solidaires du reste de la carrosserie. Alors qu’elles étaient assemblées à celui-ci sur l’ancienne. Du coup, la petite vitre latérale se trouve associée à la grille qui la suit sur la même pièce en plastique. Et le dessin des sorties d’air est légèrement différent. A noter que le cartouche « Design Bertone » a été placé – encore à tort – plus haut. Les nouveaux passages de roues laissent voir davantage le haut des pneus. Et puisque l’on parle pneus, parlons aussi du dessin des jantes alliage, qui, lui aussi n’est pas tout à fait le même. Notons aussi que l’empattement est un poil plus long. Les ancrages du large aileron arrière ont été modifiés. La gravure du capot moteur diffère de la première version en gagnant de la finesse dans la restitution des détails au niveau des articulations sur le pavillon et des rigoles latérales. Sans parler des ouïes horizontales qui ont été noircies. Les ensembles des feux arrière ne sont plus que peints aujourd’hui alors qu’ils étaient naguère rapportés et en plastique. De même, la simplification a porté sur les quatre sorties d’échappement qui ne sont plus creuses mais complètement pleines ! Et il en va de même pour l’habitacle où le mobilier est lui aussi différent. Au-revoir les sièges baquets ajoutés. Ici ils sont solidaires du plancher et des contreportes. J’ajouterai que l’embase du levier de vitesses, de circulaire, est devenue ovale et que même les cadrans du tableau de bord, déjà très nombreux, sont, à leur tour, différents avec des voyants supplémentaires. Nous avons aussi droit à un nouveau soubassement. 
4979GS Lamborghini Countach bleue 
4979GR Lamborghini Countach 
 
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Published by Trebor Yles - dans Nouveautés de la semaine