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7 juillet 2014 1 07 /07 /juillet /2014 21:00
2014 Quinzo43 titre
 
 

n° 10/455 du 07 juillet 2014

 

 

Modèles boutiques

 
Ah, que la standardisation de la production actuelle rend difficile l’identification des producteurs des modèles d’aujourd’hui. Tout se ressemble. Au point que mes commentaires pourraient être interchangeables d’une voiture à l’autre. Eh oui, il est loin le temps où l’on reconnaissait au premier coup d’œil une production Ixo, réalisée de manière plus ou moins empirique. Aujourd’hui tout le monde recourt au scanner ou aux données constructeurs pour fabriquer nos – de plus en plus – chères miniatures. Ainsi en a-t-il été pour les quatre modèles présentés dans ce numéro. 
 

AUDI A8 cabriolet de 2013

Herpa – réf. 070805

 

A commencer par la dernière A3 cabriolet – hélas - proposée entièrement ouverte. Du coup, rien à redire sur le rendu des lignes et volumes de ce modèle. Mais aussi sur sa livrée rouge vif et la bonne inclinaison de son pare-brise. Même s’il ne s’agirait pas d’une production chinoise, mais… allemande, à en croire Automodélisme. Aucune indication de provenance ne figurant tant sur l’emballage que sur la voiture elle-même.  L’imposante calandre est  soignée et arbore les quatre cercles de la marque, chromés et photodécoupés. Les blocs optiques sont acceptables. Les jantes alliage sont très fines mais ne laissent que deviner les disques de frein qui sont derrière. A l’arrière, les feux sont rapportés, en plastique et correctement colorés. Le couvercle du coffre arbore lui aussi les quatre anneaux et le monogramme A3, tous photodécoupés et chromés. Deux belles sorties d’échappement sortent sous le bouclier arrière. L’absence de toute capote, même fournie en accessoire amovible, permet de découvrit l’espace habitable qui offre quatre places. Et une fois encore, l’ensemble du mobilier qui occupe l’espace est entièrement noir. [Ce sera le levmotiv pour l’ensemble des quatre voitures.] Seuls quelques traits de peinture alu courent sur le haut des contreportes et sur la planche de bord ou le tunnel de servitude. Les cadrans du tableau de bord et le volant sont détaillés. Tout comme le soubassement qui met en évidence un modèle à transmission intégrale. 
4945GR Audi A3 cab rouge 
 

FORD B Max de 2012

Norev – réf. 270541

 

Ce petit monospace urbain, de par son système original d’ouverture des portières, antagonistes et sans pilier central, aurait mérité de le voir reproduit en miniature. Au lieu de quoi, nous nous trouvons face à un modèle des plus banals. Entièrement fermé et doté d’un toit vitré panoramique. Encore un standard qui nous prive de version à toit entièrement tôlé. Ici aussi, lignes, volumes et coloris n’appellent pas de remarques particulières. Et si la face avant est réaliste avec la calandre qui fait la moue, les blocs optiques sont toujours quelconques. C’est vrai qu’ils sont certainement difficiles à reproduire à cette échelle. Le dessin des jantes alliage est fidèle. Il laisse voir les disques de freins et leurs étriers. Les feux arrière sont en plastique, rapportés et correctement colorés. Ici nous n’avons pas droit à des écussons ou monogrammes photodécoupés, mais seulement phototamponnés. L’ensemble du mobilier qui occupe l’espace intérieur est entièrement noir. Seuls quelques traits de peinture alu sont présents sur le haut des contreportes et sur la planche de bord ou la console centrale. Les cadrans du tableau de bord et le volant sont détaillés. Le soubassement est détaillé. 
4947GR Ford B-Max rouille 
 

PEUGEOT 308 SW de 2014

Norev – réf. 473836

 

Après la berline, c’est aujourd’hui le tour du break, dit SW, d’être présenté.  Comme pour les deux modèles précédents il n’y a rien à redire sur les lignes, volumes et coloris qui nous restituent un modèle très étiré. Un effort a été réalisé pour sa mise en valeur avec le recours à de nombreuses pièces chromées, photodécoupées. Même si cela est peu visible sur cette livrée gris métallisé. Pourtant il y a le lion Peugeot sur le capot moteur, l’entourage de la calandre et les chromes encadrant les antibrouillards. Les blocs optiques sont… Un fin jonc chromé fait le tour des surfaces vitrées latérales. Le dessin des jantes alliage est réussi et laisse voir les disques de freins et leurs étriers. Les feux arrière, rapportés en plastique correctement coloré, ont une forme réaliste. Le hayon arbore le lion dressé et le monogramme 308. Le pavillon est doté d’un vaste toit vitré. L’ensemble du mobilier qui occupe l’espace intérieur est entièrement noir. Seuls quelques traits de peinture alu sont présents sur le haut des contreportes et sur la planche de bord ou la console centrale. Les cadrans du tableau de bord et le volant sont détaillés. Je ne serai pas complet si je ne précise pas qu’une touche de peinture rouge signale les ancrages des ceintures de sécurité et que l’écran tactile est bleu. Le soubassement, style fond plat, est détaillé. 
4990GR Peugeot 308SW grise 
4990GS Peugeot 308SW grise 
 

PORSCHE Macan S de 2013

Minichamps – réf. Boitage Porsche WAP 020 153 OE

 

Encore peu visible sur nos routes, voici le petit frère du Cayenne, le Macan. Lignes, volumes et coloris sont réalistes. Tour comme les imposantes entrées d’air de la proue, ornée du seul écusson de la marque, phototamponné. Les blocs optiques  sont corrects. Le jonc chromé qui, sur l’original, court autour des vitrages latéraux est représenté que par un jonc métallique mat. Les poignées des portières sont des pièces rapportées. Les grandes jantes alliage ont un dessin fidèle qui laisse voir les grands disques de frein avec leurs étriers. A noter que sur cette version ils n’ont pas eu droit à la couleur rouge. Les blocs des feux arrière sont bien dessinés, rapportés en plastique correctement coloré. Les monogrammes Porsche et Macan ne sont que phototamponnés. Par contre, quatre belles sorties d’échappement alu émergent de dessous le bouclier arrière. L’ensemble du mobilier qui occupe l’espace est entièrement noir. Seuls quelques traits de peinture alu courent sur le haut des contreportes et sur la planche de bord ou le tunnel de servitude. Les cadrans du tableau de bord et le volant sont détaillés. Le soubassement à fond partiellement plat est détaillé en quasi 3D en ca qui concerne le train arrière, transmission 4x4 oblige. 
4946GR Porsche MacanS bleu 
4946GS Porsche MacanS bleu 
 
Vous retrouverez dans le prochain numéro les sorties presse de cette quinzaine. 
 
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Published by Trebor Yles - dans Modèles boutiques
13 mai 2014 2 13 /05 /mai /2014 08:46
2014 Quinzo43 titre
 
 n° 06/451 du 12 mai 2014
 page 2/2
 
  Modèle boutiques de qualité
 

JAGUAR D-Type

24 Heures du Mans 1955 (1)

Equipage n° 6 Mike Hawthorn/Ivor Bueb, vainqueur de l’épreuve

AUTOArt Signature – réf. 65586  (exemplaire n° 1832)

 

Tiens, une voiture de Grand-prix ? Eh oui, et chère, chère… Belle. Mais c’est un cadeau. Alors ? Alors empressons nous de la détailler car elle vaut vraiment le détour. D’autant qu’il s’agit d’un modèle signé AutoArt Signature. C’est dire qu’il y a des moult choses à raconter à son sujet. D’accord, au premier abord l’on a l’impression d’être devant une vulgaire représentation de la fameuse Jaguar D dont lignes, volumes et coloris sont restitués de très belle manière. Avec son imposant capot avant tout en courbe, que l’on retrouvera plus tard sur la type E. Capot débordant sur un train avant assez étroit. Tout comme le train arrière, le sommet des roues étant recouvert par les ailes « ventrues ». Ce capot moteur est fortement nervuré au niveau des soties d’air placées devant le poste de pilotage. Sa proue est ouverte et laisse voir une grille d’aération avec une prise d’air côté droit. Les phares sont protégés par des bulles transparentes. Le numéro de course arbore l’écusson Jaguar à sa base. Les attaches de fixation de ca capot sont reproduites. Les voiles des roues sont magnifiques et possèdent un écrou central ailé rapporté. Et que penser des pneus dont la gravure des sculptures est hyper fine et réaliste. La place du passager virtuel est dissimulée sous un cache tonneau. Dommage que malgré le prix de cette miniature l’on doive se contenter de feux arrière métalliques et peints. Tout comme à l’avant, le numéro de course arrière, placé à gauche de la dérive, affiche lui aussi l’écusson Jaguar. Ce n’est pas le cas sur les deux autres numéros. Par contre celui placé sur la dérive arrière dispose d’un petit éclairage chromé et rapporté. Tout comme pour la plaque d’immatriculation arrière. Dommage aussi que le petit rétroviseur central soit dépourvu de tout miroir. Par contre il y a un très beau volant sport à jante bois et quatre branches métalliques. L’on peut aussi voir le petit siège baquet gris et les leviers de vitesses et de frein à main chromés. Le soubassement est très détaillé en véritable 3D.

Mais s’agissant d’un modèle AutoArt Signature, ce serait vraiment trahir le travail des maquettistes de s’arrêter à cette description purement externe. Alors continuons cet examen, tout d’abord en ouvrant la petite portière d’accès à la place du pilote. L’on découvrira en premier sa forte épaisseur. Puis ensuite le pédalier et les cadrans placés sur la planche de bord. Il est aussi possible de retirer le cache tonneau. Et là, l’on découvre une batterie d’accessoires fixés sur ladite planche de bord et au plancher. Et puis, il est possible de basculer la trappe de poupe qui révèle une petite cavité. Mais le clou du spectacle, le point d’orgue de ce modèle, c’est ce qui se dissimule sous le capot moteur qui bascule facilement vers l’avant. Et là, c’est vraiment l’extase devant la finesse de l’assemblage des nombreuses pièces utilisées pour reproduire toute la mécanique. A commencer par la conduite de la prise d’air et les passages de roues, solidaires du capot lui-même. Outre le radiateur, les éléments du châssis tubulaire, il y a quasiment tout les accessoires présents sur la vrie. L’on peut ainsi découvrir, notamment, les pipes des carburateurs, les caches culasses chromés, les fils des bougies, moult durits et autres conduits cuivrés, les sorties d’échappement. Sans oublier bien sûr des roues avant orientables et une représentation en 3D du soubassement. Du très, très beau travail. 

 

_(1) Cette édition fut endeuillée par un terrible accident qui coûta la vie à plus de 70 spectateurs. 
 
4971GA Jaguar D-type verte 
4971GR Jaguar D-type verte 
4971GS Jaguar D-type verte 
4971GT Jaguar D-type verte 
4971GU Jaguar D-type verte 
4971GV Jaguar D-type verte 
 
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Published by Trebor Yles - dans Modèles boutiques
27 février 2014 4 27 /02 /février /2014 14:15
2014 Quinzo43 titre
 
 n° 01/446 du 03 mars 2014
 page 2/2
 Modèles boutiques
 

Page spéciale  Statesman by GM

En attendant la prochaine sortie de la série limitée LS/E de la HZ Statesman, lancée en juillet 1979, et qui, partant de la version Caprice, venait s’intercaler entre les versions DeVille et Caprice, voici aujourd’hui la représentation faite par de ladite HZ Statesman DeVille.

 

 

GM HZ series Statesman DeVille de 1977 (HZ/8WS69)

Trax – réf. TO10

 

La HZ series fut l’ultime série de modèles apparus en juillet 1970 dans le cadre de la HG series. Par contre, la gamme Statesman n’est apparue qu’en juillet 1971, avec le lancement de la HQ series, en remplacement de la gamme Brougham. Mais pour mieux la mettre en valeur, cette gamme était diffusée sous le label GM, non sous celui d’Holden.

Nous retrouvons donc, et avec beaucoup de plaisir, un modèle que nous connaissons déjà depuis quelques années puisque ce réducteur nous a déjà proposé les séries antérieures, qui partagent la même carrosserie avec elle, savoir :

 

HOLDEN HQ/81469 Statesman de ville by GM de 1971 (Trax – réf. TO07B); cf. le n° 279 de CH43, daté du 13 décembre 2010)

 

GM (Holden) HJ/8WS69 Statesman DeVille de 1974 (Trax – réf. TO08); cf. le n° 332 de CH43, date du 19 décembre 2011)

 

GM HX/8WS69 Statesman de Ville  de 1976 (Trax – réf. TO09B) et GM (Holden) HX/8WT69 Statesman Caprice de 1976 (Trax – réf. TO09); cf. le n° 396 de Ch43, date du 11 mars 2013)

 

Petit rappel : C’est le seul modèle produit par Trax qui nous propose tous les ouvrants fonctionnels, et ce, depuis 2010. J’écrivais ceci lors de la présentation des deux modèles de la HX series : « Oui, elles s’ouvraient enfin, les portières arrière de la Statesman HQ series by GM, sortie fin 2010. Et depuis, Trax décline ce modèle à qui mieux mieux. Ce qui est loin de me déplaire. Reste que la HZ series ne se différenciait de la HX series, que je vous présente aujourd’hui, que par le dessin de ses enjoliveurs. Il faut donc s’attendre à la retrouver dans quelques mois. Par contre, la WB series a fait appel à une toute autre carrosserie, de type limousine, aux lignes plus carrées, qui ne fut proposée que pendant quatre année. En vaudra-t-elle l’investissement d’un nouveau moule ? Affaire à suivre… »

 

Ainsi fut fait, en ce qui concerne la HZ series, dont le premier modèle est enfin arrivé chez moi. Me reste à recevoir la version LS/E, en retard.

Nous retrouvons, une nouvelle fois, le moule et ses divers composants ayant servis aux versions antérieures, sur une plateforme allongée au niveau de l’empattement et du porte à faux arrière, par rapport aux modèles inférieurs. Ce qui permet encore de reconnaitre un modèle Statesman de la HZ series reste sa grille de calandre horizontale. Autre particularité de la HZ series, le modèle du sommet de gamme restait décliné en deux finitions : DeVille et Caprice, encore mieux dotée.

Une fois encore, et pour cause, les lignes et volumes de l’original sont fort bien respectés et proposés dans une livrée fort soignée. La finition est toujours d’un très bon niveau avec des entourages de vitrages très fins et chromés, tout comme les essuie-glaces rapportés et au dessin assez quelconque. La fine grille de calandre est estampillée DeVille du côté gauche et surmontée de l’écusson de la marque. Les quatre optiques principales sont rapportées et en plastique, alors que les veilleuses et les clignotants, rejetés aux extrémités de la proue ne sont que métallisés et peints. Les roues sont dotées d’enjoliveurs intégraux dont la partie centrale est frappée de l’écusson de la marque à l’intérieur d’une série de cercles concentriques. Les pneus sont de dimension correcte. Les ailes avant reçoivent le monogramme DeVille, phototamponné. Les poignées de portières sont, elles aussi, rapportées et chromées. Tout comme les larges protections du bas de caisse. Les panneaux de custode sont dépourvus de tout écusson. L’antenne radio, placée sur l’aile arrière gauche n’est que suggérée par une petite pastille collée. Le couvercle du coffre n’arbore plus  l’écusson de la marque mais seulement les monogrammes Statesman et DeVille, phototamponnés. Les feux arrière sont hélas seulement métallisés et peints. Le pavillon brun est de couleur mate pour donner l’illusion du revêtement faux cuir de l’original.

 Soulevons le capot moteur pour découvrir la toujours très jolie reproduction du V8 qu’il renferme. Reproduction en 3D coiffée de culasses vermillon et surmontée de son filtre à air noir. Remarquez la présence des fils des bougies. Un vrai petit bijou que cette reproduction de l’ensemble mécanique qui se prolonge sous la voiture jusqu’à la sortie d’échappement. Ouvrons au choix, et indifféremment, l’une des quatre portières et examinons l’habitacle. Quel plaisir de voir le bout de la portière plonger dans l’épaisseur de la carrosserie, comme sur une vraie avant de révéler un mobilier très bien moulé et de couleur caramel clair. Un mobilier bien gravé mais à la présentation assez sobre au niveau des contreportes. Plus de trace de placage de bois cette fois-ci, même sur la façade de la planche de bord. Un grand plafonnier se trouve toujours au centre du ciel de pavillon doté des pare-soleils et du rétroviseur intérieur. Le tableau de bord est très détaillé. Le coffre se révèle plus grand que sur les autres modèles, et pour cause. Le soubassement est très bien reproduit en 3D lui aussi. N’y manque toujours qu’une direction fonctionnelle. 

 
4935GP GM HZ Statesman deVi 
4935GQ GM HZ Statesman deVi 
4935GR GM HZ Statesman deVi 
4935GS GM HZ Statesman deVi 
4935GT GM HZ Statesman deVi 
 
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Published by Trebor Yles - dans Modèles boutiques
28 novembre 2013 4 28 /11 /novembre /2013 09:31
2013 CH43Mag NF 9A
 
 n° 34/434 du 02 décembre 2013
 

Ajout du 01 décembre 2013

 

Reprise de mes anciens délires

Voila plusieurs lecteurs qui se pleignent qu'ils ne peuvent plus retrouver mes premiers délires car les liens existants ne fonctionnent plus. C'est un fait que depuis un temps certain le site qui les hébergeait a fermé. Heureusement, j'en possède une copie sur mon PC. Aussi, depuis ce matin, je commence à recopier ceux qui se trouvaient sur le site FCFrétrovision2 . Vous pourrez les (re)trouver à cette adresse http://fcfretrovision2.canalblog.com/

 
 Modèles boutiques

DODGE Dart de 1966

Ixo via Whitebox – réf. WB033

 

Signé Ixo, ce nouvel avatar de la version GL de la Dart 270 produite en Espagne par Barreiros,  reprend la base du modèle presse de la collection espagnole Nuestro queridos coches, n° 26  (cf. le n°  275 de CH43, daté du 15 novembre 2010). Il diffère donc, lui aussi,  de la version GT proposée par ce même réducteur dans sa gamme boutiques (réf. CLC066 – cf. le n° 60 de l’alors Collec’Hebdo 43, daté du 02 octobre 2006) par sa carrosserie monocolore. Ses lignes et volumes correspondent bien à ceux de la vraie. Par contre, je ne me prononcerai pas sur sa livrée parme métallisé. Toutefois, il convient de souligner qu’une erreur constatée sur le modèle presse n’a pas été corrigée sur ce modèle. Elle se retrouve sur le capot moteur et le couvercle du coffre où figure le monogramme Barreiros. Si vous regardez bien vous pouvez encore aujourd’hui lire Darreiros… Et oui, avec un D comme Dodge de l’autre côté. Cette erreur ne se retrouvait pas sur la version boutiques d’Ixo. A part cela, rien d’autre à signaler. La calandre est finement détaillée. A noter cependant que s’agissant d’un modèle vendu dans le commerce traditionnel, il souffre d’une finition moins soignée que sur le modèle presse. J’en veux pour preuve l’absence de peinture rouge du motif ornant le centre des enjoliveurs et la disparition des pneus à flanc blanc. La large bande latérale décorative est correctement détaillée et contient le monogramme du modèle à l’extrémité des ailes avant. Les feux arrière sont pauvres en rouge. L’intérieur, au mobilier gris et noir, est assez détaillé et permet de constater la présence de deux banquettes dans son habitacle, pouvant accueillir six passagers, avec cependant, la présence incongrue d’un levier de vitesses au plancher, alors qu’il y a déjà le bon au volant ! Le soubassement est très peu détaillé. 
4866GR Dodge Dart mauve
 

MG MGA coupé de 1956

Norev – réf. 370023

 

Un peu de nostalgie ? Voici  un original petit coupé MGA tout noir. Lignes et volumes sont correctement restitués. Sa finition est correcte avec des chromes juste représentés par des traits de peinture alu autour des surfaces vitrées et pour représenter les poignées de portières.  Les petits essuie-glaces sont rapportés et chromés. Tout comme la grille de calandre qui gagnerait à être noircie. Les phares et les clignotants avant sont rapportés. Les jantes fils – photodécoupées - sont de bonne facture avec leur gros écrou central.  Les feux arrière sont rapportés, en plastique rouge. Le monogramme MG trône sur le couvercle du coffre, phototamponné. Tout comme le dessin des deux petites sorties d’air placées sur le capot moteur.  Il y a même le bouchon du réservoir, chromé lui aussi.  L’intérieur du petit habitacle est rouge sang avec une belle représentation de la plage de bord, avec ses cadrans et son autoradio. Beau volant sport à quatre branches. Notez, derrière les deux petits sièges, la représentation de la housse de protection de la roue de secours. Le soubassement est sommairement détaillé. 
4863GR MG MGA coupe noir 
 

PEUGEOT 504 break de 1979

Norev – réf. 475456

 

Après la version 4x4 par Dangel, vue dans la collection du Dakar, n° 35 (cf. le n° 144 de l’alors Collec’Hebdo 43 daté du 12 mai 2008), voici une version  ordinaire. Nous retrouvons très facilement les lignes et volumes de l’original dans une belle livrée réaliste, gris métallisé. Les essuie-glaces sont rapportés en plastique noir alors que les deux rétroviseurs extérieurs sont chromés. La grille de calandre est noire avec deux barres chromées et arbore en son centre le lion de la marque. Les optiques trapézoïdales sont rapportées, en plastique translucide, sans ampoules jaunes. Les ensembles veilleuses-clignotants, sont eux aussi rapportés, en plastique correctement coloré. Le dessin des jantes alvéolées est correct, avec en leur centre de petits enjoliveurs chromées. Notez la présence de bavettes derrière les roues arrière. Notez aussi que les monogrammes 504 et Peugeot, placés respectivement au-dessus de la calandre et sur le hayon, sont photodécoupés et chromés. Tout comme l’élément protégeant l’éclairage de l’immatriculation arrière. Les blocs des feux arrière sont rapportés, en plastique et correctement colorés. L’intérieur a fait l’objet d’un effort de présentation avec une planche de bord noire, des contreportes tabac foncé et noir, des sièges tabac foncé et un compartiment arrière beige. La planche de bord est très détaillée. Tout comme le soubassement, notamment au niveau du train arrière représenté en quasi 3D avec une ligne d’échappement rapportée et  la présence de la roue de secours. 
4864GR Peugeot 504 break gr 
 

RENAULT-ALPINE concept-car A110-50 de 2012

Norev – réf. 517840

 

Et demain ?  Peut-être un début de réponse avec ce concept-car préfigurant ce que serait la future Alpine. Lignes, volumes et livrée sont très bien restitués. Les petites optiques avant  sont bien présentes aux extrémités de l’absence de calandre.  Le losange de la marque est rapporté et chromé. Il y a même le crochet de remorquage au milieu du spolier avant.  Le dessin original des jantes est bien repris. Il laisse voir les disques de frein et leurs étriers. Les rétroviseurs extérieurs sont très fins.  La lunette arrière est perforée pour permettre le refroidissement du moteur. Les feux arrière sont intégrés dans la large bande rouge surplombant la grande sorte d’air et l’extracteur. Le tout est coiffé par un large aileron ? Les vitrages fumés ne permettent pas de bien voir à l’intérieur mais la représentation du moteur et de la boite de vitesses restent discernables derrière deux sièges baquets bleus et noirs et dotés de harnais. Le soubassement est à fond plat. 
4865GR Alpine-Renault A110- 
 

VOLKSWAGEN  Up ! 3 portes de 2012

Schuco – réf. Boitage Volkswagen  1S3 099 300 B9A

  

Après la Skoda Citigo 5 portes (cf. le n° 378 de CH43, daté du 05 novembre 2013), voici aujourd’hui sa cousine ainée, la VW Up ! Mais en version 3 portes et sous une livrée blanche qui permet de bien voir sa « calandre » autour du bouclier avant. Lignes, volumes et présentation sont fidèles. Les essuie-glaces, noirs, sont bien dessinés. L’écusson VW est rapporté et chromé. Le dessin des blocs optiques est acceptable. Les antibrouillards sont rapportés et intégrés dans le bouclier. Le dessin des jantes alvéolées est réaliste. Il laisse deviner les disques de frein. Le hayon vitré est assez bien reproduit avec son essuie-glace rapporté, son écusson VW photodécoupé et chromé, le monogramme up ! phototamponné et des ensemble de feux arrière verticaux et correctement colorés. Version haut de gamme oblige, le pavillon est doté d’un toit vitré au-dessus des places avant. A l’intérieur, le mobilier est à dominante blanc avec du noir pour le dessus de la planche de bord, le plancher et l’arrière des dossiers des sièges. Il y a même la représentation  des ceintures de sécurité et de leurs points d’ancrage, ainsi que du ciel de toit.  Le soubassement est représenté en quasi 3D. 
4816GR Volkswagen Up 3p bla 
 
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Published by Trebor Yles - dans Modèles boutiques
1 novembre 2013 5 01 /11 /novembre /2013 09:34
2013 CH43Mag NF 9A
 
 n° 30/430 du 04 novembre 2013
 
 Modèles boutiques
 

La faible actualité presse de cette semaine m’incite à reporter au numéro de la semaine prochaine la présentation du Land Cruiser Toyota. En contrepartie je vous présente quatre modèles boutiques.

 Et les quatre pour 100 euros, c’est encore possible ! 

 

FORD Transit de 2014 

Greenlight collectibles – réf. #86039

 

Il y a bien longtemps que nos chères miniatures ne devancent plus la parution du modèle qu’elles représentent. C’est ce qui semble être pourtant le cas avec cette réduction du nouveau Ford Transit. Ses lignes et volumes sont fidèles et bien présentés sous cette livrée blanche. Sa gravure est acceptable. En effet, elle parait manquer un peu de finesse à mon goût. Mais vu le prix d’achat… La face avant est honnête avec ses essuie-glaces apparents et la moue de sa grille de calandre. Les blocs optiques sont acceptables, eux aussi. Tout comme le dessin des roues. Roues dépourvues de toute représentation du système de freinage. A noter que ce modèle est équipé d’une large portière coulissante – non fonctionnelle – de chaque côté.  Les feux arrière sont en plastique, et rapportés. Les écussons Ford et le monogramme Transit sont phototamponnés. Les portières arrière vitrées laissent voir un vaste plancher de chargement. Le mobilier de la cabine est entièrement noir. Il ne comporte que deux sièges à haut dossier. Les cadrans du tableau de bord sont détaillés. Le soubassement l’est aussi, mais partiellement. 
4859GR Ford Transit blanc 
 

FORD Gran Torino Sport de 1972

Greenlight collectibles – réf. #86218,  gamme Fast & Furious

 

Allez! Pour une fois, lançons nous dans le spectaculaire. Dans la suite de films Fast & furious. Voici aujourd’hui la réduction de la Gran Torino. Si ses lignes et volumes sont réalistes dans cette belle livrée vert métallisé, je regrette pour ma part que ce réducteur n’ait pas choisi de nous proposer le modèle que l’on voit dans le film éponyme aux côtes de Clint Eastwood. Peut-être qu’un jour nous l’aurons enfin. Toujours est-il que ce modèle vient très bien compléter la gamme aux côtés du coupé de 1976 proposé par Minichamps. Sa face avant est très agressive avec sa vaste prise d’air sur le capot moteur, sa calandre avancée et ses quatre optiques rapportées. A noter que les clignotants, enfoncés dans l’épais bouclier ne sont que peints. La décoration latérale est correcte. Tout comme le dessin des jantes chromées. A noter aussi qu’il n’y a pas de représentation du système de freinage sur ce modèle entièrement vitré. Vitrage quasi affleurant. Et remarquez les quadruples sorties d’échappement chromées et bien creusées qui débouchent, deux par deux, juste devant les roues arrière.  Le large bouclier arrière accueille les feux qui ne sont que peints. Pas de monogrammes sur ce modèle, juste le dessin d’une tête de mort sur le couvercle du coffre. Le mobilier intérieur est entièrement noir et composé de deux sièges baquets à haut dossier et d’une banquette arrière. Le tout protégé par un arceau cage assez fin. Le soubassement est détaillé. 
4860GR Ford Gran-Torino ver 
 

SUBARU Impreza WRX STi de 2009

Greenlight collectibles – réf. #86220,  gamme Fast & Furious

 

Une asiatique pour continuer. Cette Impreza WRX est bien restituée dans ses lignes et volumes qui disparaissent malgré tout sous cette livrée noir et argent. Pourtant les détails sont là et bénéficient d’une bonne gravure. Le capot moteur s’orne d’une grande prise d’air. Les blocs optiques sont assez bien représentés et encadrent une calandre ornée de l’écusson de la marque et où le monogramme WRX rouge figure sur sa grille.  Le dessin des jantes est très soigné et permet de découvrir les disques de frein et leurs étriers.  La lunette arrière est surmontée d’un large béquet et est équipée d’un essuie-glace. Les feux sont rapportés, en plastique et colorés à la mode d’aujourd’hui. C’est à dire quasiment blanc. L’écusson de la marque et les monogrammes figurant sur le hayon sont phototamponnés. L’extrémité de la ligne d’échappement est rapportée et peinte alu.  Et l’on aperçoit, sous le bouclier arrière quatre belles sorties d’échappement bien creusées. Le mobilier intérieur est entièrement noir, à l’exception de l’affichage placé sur le haut de la console centrale. Il se limite à deux sièges baquets à haut dossier, protégés par un bel arceau cage rouge et un extincteur placé devant le siège passager. Le soubassement est détaillé. 
4861GR Subaru Impreza noire 
 

RENAULT Zoé de 2013

Eligor – réf. 101 502

 

La voiture électrique selon Renault ! Cette Zoé, au gabarit proche de celui de la Clio IV, jouit d’une belle réduction siglée Eligor, avec des lignes et volumes très bien restitués, le tout dans une livrée métallisée où tout est bleuté : carrosserie, vitrages et mêmes optiques et feux arrière.  Seuls les losanges de la marque sont chromés et rapportés et les roues alu.  Le dessin de la face avant est fidèle avec ses blogs optiques très effilés et aux clignotants orange rejetés latéralement très en arrière. Même les petits feux de jour, en forme de croissants, sont surlignés d’un bleu plus soutenu dans le bouclier. Le dessin des jantes, très réaliste, ne permet pas de voir les disques de frein qui sont derrière.  La petite lunette arrière est dotée d’un essuie-glace. Tout comme à l’avant, les blocs des feux arrière sont bien dessinés et accueillent des clignotants orange rejetés latéralement très en avant. L’immatriculation est surmontée du monogramme Zoé écrit en bleu plus soutenu. Même le mobilier intérieur est coloré en bleu, mais en deux nuances, une claire, l’autre foncée. Le mobilier y est bien gravé et détaillé. Tout comme le soubassement quasi plat. 
4862GR Renault Zoe bleue 
 
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5 octobre 2013 6 05 /10 /octobre /2013 08:50
2013 CH43Mag NF 9A
 
 n° 26/426 du 07 octobre 2013
 
Modèles boutiques
 

Un léger contretemps ne m’a pas permis de procéder à la présentation des deux modèles presse trouvés cette semaine chez mon pressier. Vous les trouverez dans le numéro de la semaine prochaine. En attendant, voici cinq modèles boutiques entrés depuis quelques semaines déjà.

 

JAGUAR XJ de 2011

Ixo – réf. MOC148

 

Où sont passées les lignes britanniques des anciennes Jaguar, qui en faisaient le charme ? Cette XJ pourrait très bien être d’une toute autre marque, tant son style est impersonnel. Mais je ne suis pas ici pour critiquer le modèle à l’échelle 1. Juste pour en présenter la reproduction qu’en a faite Ixo. Et là, j’ai du mal à imaginé que c’est le même réducteur que celui des modèles présentés dans les premiers numéros de l’alors Collec’Hebdo 43. Que de chemin parcouru. Et dans le bon sens. ET s’applique aussi aux commentaires faits par ailleurs au sujet d’une certaine RANGE ROVER Evoque, ou encore d’une Rolls-Royce Phantom. Lignes, volumes et coloris sont bien au rendez-vous et bénéficient d’une gravure fine et d’une bonne présentation. Fins essuie-glaces noirs. Jolie grille de calandre chromée et rapportée. Blocs optiques réussis. Les rares chromes présents encadrent les vitrages latéraux. De belles jantes alliage, au dessin réaliste, laissent deviner les disques de frein avec leurs étriers. De grand diamètre, elles sont équipées de pneus taille basse bien proportionnés. Les ailes avant arborent de larges cartouches chromées siglés Jaguar. Les poignées de portières sont rapportées. Le couvercle du coffre arbore un jaguar bondissant et le monogramme XJ, tous deux chromés et photodécoupés. Le bouclier arrière est surligné d’un jonc chromé. Les feux sont rapportés et correctement dessinés et colorés.  Deux larges sorties d’échappement, bien creusées et chromées, dépassent du bas de caisse. Le troisième feu stop, placé sur la tablette arrière n’est pas peint. Le pavillon est vitré. Le mobilier intérieur, bien gravé, est entièrement noir. A l’exception des encrages des ceintures de sécurité rouges. Seule l’instrumentation sur la planche de bord et le tunnel de servitude est argentée. Le soubassement à fond plat est détaillé, surtout au niveau du train arrière. 
4822GR Jaguar XJ grise 
 

MERCURY Cougar de 1968

Vitesse  « American classics » – réf. 36302

 

Certainement plus proche du 1/50ème que du 1/43ème, cette représentation du coupé Cougar de 1968 restitue cependant d’assez belle façon les lignes et volumes de l’original. Mais il y a une chose qui en gâche la perception, c’est la taille énorme des pneus par rapport au diamètre très petit des jantes chromées. Sa finition rappelle celle de la fin des années 1970. Ce qui est loin de me déplaire.  Avec des essuie-glaces et un rétroviseur extérieur chromés et rapportés. Mais aussi un "pieu" en guise d’antenne radio - tant c'est gros - plantée sur l’aile avant droite, à la base du pare-brise. La large grille de calandre est réaliste, sans plus, et comporte bien le cartouche placé sur le volet de phare droit. La large bande des feux arrière est astucieusement bien rendue. Le cartouche d’ouverture du coffre est marqué Cougar alors que le monogramme Mercury, placé à sa droite est chromé et photodécoupé. Un cartouche Cougar se trouve à l’extrémité des ailes arrière. Le mobilier intérieur est noir. Mais il comporte quelques traits de peinture alu pour mettre en valeur les accessoires des contreportes. Un soin particulier a été porté à la présentation de la planche de bord qui arbore tous ses cadrans et autres commandes et rangements, sur une façade façon placage bois. Il y a aussi une très belle colonne de direction avec un volant bois à branches métalliques. Le levier de la boîte automatique est chromé. Le soubassement est détaillé. Mais j’allais oublier l’essentiel pour ce modèle. Son capot moteur relevable, permettant de voir en quasi 3D le moteur et ses principaux accessoires. 

4814GR Mercury Cougar verte 
 

RANGE ROVER Evoque coupé 3 portes de 2011

Ixo – réf. MOC142P

 

Dans le n° 15/415 de CH43Mag, daté du 22 juillet 2013, je vous présentais la version 5 portes de l’Evoque. Aujourd’hui c’est au tour du coupé 3 portes. Comme pour la première, non retrouvons un bon rendu des lignes et volumes de l’original dans une livrée bleu métallisé et blanc, très réaliste. La finition et la présentation sont aussi agréables, y compris pour le mobilier intérieur, qui, sur ce modèle, est blanc cassé - et noir sur les contreportes. Et toujours pour moins de 35 euros. Et pour ce prix là, nous avons droit à une peinture métallisée au grain ultra fin ; à des monogrammes (à l’avant et à l’arrière) chromés et photodécoupés ; à une belle grille de calandre hyper réaliste ; et des optiques rapportées. De plus, de belles jantes alliage (dont le centre est frappé du monogramme Range Rover) laissent découvrir les disques de frein avec leurs étriers. Les pneus taille basse sont juste assez larges. Les poignées de portière sont rapportées. Et les deux belles sorties d’échappement chromées. De jolis feux arrière bien travaillés et une lunette arrière dotée de sa grille de désembuage, complètent le tableau. Le toit vitré permet de découvrir une très belle représentation du mobilier intérieur, composé de quatre sièges baquets à haut dossier, noirs et framboise. La planche de bord, la console centrale et le tunnel de servitude sont très détaillés, Tout comme l’habillage des contreportes. Le soubassement est détaillé. Oui, encore Bravo IXO.

 

Ceci étant écrit, il convient toutefois de comparer les deux modèles. Et là, il y a des différences dans le rendu de certains détails. Ecartons d’entrée la présence des deux sorties d’air sur le capot moteur du coupé 3 portes ou l’inclinaison plus forte du pavillon avec une lunette arrière plus écrasée. Mais regardons des éléments communs comme la grille de calandre qui est plus réaliste sur le coupé que sur la 5 portes. Il en va de même pour le traitement différent de la petite prise d’air située au-dessus  de l’immatriculation avant. De même à l’arrière, au-dessus du sabot de protection. A noter aussi que les tunnels de servitude sont aussi différents : levier de vitesse pour les 5 portes, bouton rotatif pour le coupé 3 portes. Et pour terminer, il y a quelques petites différences dans la gravure des soubassements. 
4812GR Range-Rover Evoque 3 
 

ROLLS-ROYCE Phamtom de 2009

Ixo – réf. MOC126P

 

Voici du bel ouvrage, comme j’aimerais en trouver encore plus souvent pour… 29.95 €. Et oui, et malgré ce prix il faut voir le boîtage. Un vrai coffret « de luxe » digne de l’original. Alors pourquoi payer plus de 60 euros de nos jours pour une simple réduction au 1/43ème ? Vaste débat dans lequel je n’entrerai pas. Revenons à cette Phantom en la qualifiant de réussie malgré ses dimensions impressionnantes. En effet, lignes, volumes et présentation sont très réalistes et ont bénéficié d’un soin tout particulier. A commencer par sa calandre chromée, surmontée de la Victoire de Samocrace, et encadrée par quatre optiques rapportées. Les jantes alliage jouissent d’une belle gravure et comportent, en leur centre, un petit enjoliveur noir frappé des initiales de la marque. Elles laissent voir les grands disques de frein et leurs étriers. Les feux de gabarit latéraux sont bien présents, tout comme les petits cartouches au bas des ailes avant, et sur les panneaux de custode, eux aussi frappés des initiales de la marque. Les entourages des vitrages sont bien représentés par des chromes. Tout comme les poignées des portières antagonistes, rapportées. La petite lunette arrière est équipée d’une grille de désembuage et accueille le troisième feu stop en son sommet. Les feux arrière sont rapportés, en plastique rouge, et entourés de chrome. Chrome que l’on retrouve aussi au-dessus de la plaque d’immatriculation. L’intérieur a fait l’objet d’une présentation soignée avec un mobilier bicolore, ocre et gris foncé. A noter la belle représentation des commandes présentes sur la planche de bord et la console centrale. Les commandes d’ouverture des portières sont chromées. A noter également les tablettes aviation présentées en position ouvertes. A noter également, la présence d’un ciel de pavillon détaillé.  Bien détaillé également, le soubassement à fond quasi plat où les deux lignes d’échappement sont bien mises en évidence et traitées en relief 3D montrant les quatre sorties d’échappement dont est équipé ce modèle. Bravo Ixo. 
4813GR Rolls-Royce Phantom 
 

SIMCA Marly de 1960

Norev – réf. 574053

 

Carton rouge en vue ! Pour cette Marly première génération, censée représenter celle qui participa à la caravane publicitaire du tour de France 1960. D’abord parce qu’elle reprend le même moule que la Marly d’Aspro. Puis, et surtout parce que Norev nous refait le même coup qu’Eligor, mais à l’envers cette fois. Je m’explique. Il y a quelques mois Eligor proposait une Marly devant représenter celle utilisée par des journalistes pour aller à Moscou. Ceux-ci avaient utilisé une Marly d’origine alors qu’Eligor l’a représentée sous la forme d’une Marly restylée (calandre de Chambord). Aujourd’hui Norev fait l’inverse.  Voulant m’assurer de l’exactitude au regard de l’original, une simple recherche de photos via Gogole permet de découvrir le tour de passe-passe. En effet, la voiture utilisée lors du tour de France 1960, immatriculée 452 FF 49 était une Marly restylée à calandre Chambord. De plus elle avait sur les ailes avant cinq petites coques chromées imitation sorties d’air. Et le coffrage des hauts parleurs placé sur le toit était moins volumineux et plus en arrière que sur la miniature.  Pourtant ce break Marly est très réussi. C’est d’ailleurs le premier modèle que j’ai présenté dans le n° 01 de l’alors Collec’Hebdo 43 daté du 12 août 2005. C’est aussi le seul représentant de la gamme Vedette à être correctement reproduit au 1/43ème. Par Norev pour la première génération, à calandre de Versailles. Puis par Ixo pour la seconde génération, à calandre de Chambord. La finition intérieure est toujours aussi détaillée et colorée. Cependant, la fête est gâchée par cette substitution de modèles. 
4815GR Simca Marly Shell 
 
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31 juillet 2013 3 31 /07 /juillet /2013 06:21
2013 CH43Mag NF mod
 
 n° 17/417 du 05 août 2013
 

Quoi de neuf à l'horizon ? 

 

L’apparition de publicités sur le site d’Altaya.fr, pour l’assemblage d’une Lamborghini Reventon au 1/10, confirme l’intérêt que portent de plus en plus les éditeurs vers des collections captives où l’abonné ne peut s’arrêter en cours de diffusion au risque d’avoir un produit inachevé devant lui.  Alors quid du 1/43ème ?  Certainement, sous quelques jours, le lancement d’une telle collection pour agrémenter nos dioramas et, un peu plus tard, un énième test. Pour le reste, wait and see !

 
Modèles boutiques 
Heureusement que le label PremiumX existe, car il nous permet de trouver, via le réseau boutiques, nombre de modèles parus en presses étrangères. Et à des prix encore abordables. Ce qui n’est pas négligeable de nos jours. Encore trois exemples cette semaine avec deux modèles dérivés de la collection James Bond et un d’une collection brésilienne. J’espère qu’ainsi, un jour il y aura aussi à son catalogue la Simca Esplanada parue dans cette dernière collection. 
 

CHEVROLET C30 truck de 1961

PremiumX – réf. PRD217

 

Ce C30 est dérivé du modèle publié dans la collection James Bond, n° 126 – Bons baisers de Russie. (cf. le n° 402 de CH43Mag daté du 22 avril 2013). Il est toujours aussi imposant pour un plateau d’une tonne de charge utile. Nous retrouvons donc l’agressivité de sa partie avant ainsi que l’architecture complexe de sa face avant avec ses prises d’air oblongues au-dessus des optiques jumelées et les feux rapportés sur les côtés. Les essuie-glaces sont photodécoupés et très fins. Les rétroviseurs latéraux sont rapportés. De même que les deux sorties d’échappement qui remontent derrière la cabine, chromées et bien creusées. Le dessin des jantes est correct. Par contre le plateau à ridelles est encore reproduit de manière assez rudimentaire. En effet, l’abattant arrière est dépourvu de représentation de tout système d’articulation et de blocage. Le mobilier de la cabine est entièrement noir et se limite à une large banquette trois places. Seuls les accessoires des contreportes et de la planche de bord sont soulignés d’un trait de peinture alu. Le châssis est classique. Il n’y a toujours pas de roue de secours. Cela fait une finition un peu maigre par rapport à celle du modèle de la collection James Bond. Et ce ne sera pas le petit cartouche apposé sur les ailes avant qui justifiera la différence de prix. 
4793GR Chevrolet C30 truck 
 

DODGE RAM 2 tones de1987

PremiumX – réf. PRD258

 

 N’ayant pas encore devant moi le modèle issu de cette même collection James Bond, ici n° 125 « Licence to kill ». Toujours est-il que voici encore un imposant pick-up dont la livrée bleu nuit métallisé et gris argenté le met en valeur. D’autant que le grain de ces peintures est ultra fin. J’adore ! Il rejoint le Ford F500 et le Chevrolet C30. Ses lignes et volumes sont très bien restitués. L’imposante calandre chromée en croix, est surmontée du monogramme DODGE photodécoupé. Si les optiques principales sont rapportées, en plastique translucide, les clignotants et les feux latéraux ne sont que peints. Les ailes avant arborent le monogramme chromé RAM. Les poignées de portières et les grands rétroviseurs extérieurs sont eux aussi chromés et rapportés. Le dessin des jantes ordinaires est soigné. Les pneus ont leurs inscriptions mises en valeur par une peinture blanche. Comme les clignotants, les blocs des feux arrière ne sont que peints. Le panneau de l’abattant affiche le monogramme Dodge RAM phototamponné en orange. Il est surmonté d’une poignée rapportée et chromée. Le plateau est nervuré et est équipé d’un arceau de protection placé derrière la cabine. Cabine dont le mobilier se limite à une large banquette à trois places. L’intérieur est gris foncé, presque noir. La large lunette arrière permet de découvrir le vaste tableau de bord rectangulaire, imitation bois, avec ses multiples cadrans. Le soubassement est sommairement détaillé, mais possède une roue de secours à l’arrière. La sortie d’échappement est très quelconque. 
4794GR Dodge Ram PU noir 
 

FORD Del Rey Ouro de 1982

PremiumX – réf. PRD238

 

Encore un dérivé d’une collection presse, cette fois-ci il s’agit du n° 10 de la collection brésilienne Carros Inesquecíveis do Brasil. J’espère qu’un jour j’y trouverais aussi la Simca Esplanada !

Mais revenons à cette Del Rey, et regardons-la sous un trois quarts avant plongeant.  Sa silhouette ne nous ait pas inconnue, surtout en raison de son empattement très réduit. Elle a des airs de déjà vu sur nos routes. Pourtant je ne crois pas qu’il y en eut un jour.

Mais oui… Mais c’est bien sûr, aurait surenchéri le célèbre commissaire Bourel à la fin des Cinq dernière minutes. Elle a des airs de Renault 12. Non ce n’est pas la canicule qui me fait délirer. Il faut revenir en 1967 quand Ford rachète Willys Brasil. Il hérite de celle qui devait être la Renault 12 produite au Brésil ! Et oui, l’étude de la R12 fut utilisée par Ford pour réaliser sa Corcel à moteur Cléon de 1.300cm3. En berline, break et coupé. Mais c’est le coupé qui connaitra le succès. Corcel qui devint plus tard la Del Rey.

Là, un effort de présentation a été réalisé avec des entourages des vitrages chromés, de fins essuie-glaces noirs photodécoupés et des vitrages très près de la carrosserie et aux articulations arrière illustrées.  Une large calandre à fanons chromés orne la face avant. Les optiques sont rapportées et sont complétés par des clignotants verticaux sobrement colorés en orange. Le dessin des petites roues set soigné et réaliste. L’entourage du panneau arrière est serti d’un jonc chromé. Les blocs des feux arrière sont eux aussi rapportés, en plastique et correctement colorés. Ils sont surmontés de monogrammes et de l’écusson Ford, photodécoupés. Même la partie supérieure su pare-chocs arrière est chromée. Le mobilier intérieur est tabac brun. Il est très détaillé et les accessoires des contreportes sont soulignés d’un trait de peinture alu. Les cadrans du tableau de bord sont mis en évidence. Le soubassement est sommairement détaillé mais accorde une place particulière à la ligne d’échappement. Un beau modèle peu connu. 
4795GR Ford Del-Rey noire 
 

TRABANT 1.1 pick-up bâché de 1990

IST Models – réf. IST179A

 

Pour changer un peu et compléter la gamme de mes Trabant, voici, après la berline, le break et la découverte, le pick-up. Nous retrouvons les lignes et volumes caractéristiques, propres à ce modèle Est-Allemand. Mais doté, cette fois-ci d’une calandre asymétrique. L’ensemble est plaisant dans cette livrée bleu pâle et gris clair. De très fins essuie-glaces ont en charge le pare-brise. Les phares et les clignotants avant sont des pièces rapportées en plastique. Le dessin des jantes métalliques est réaliste. La bâche est ouverte à l’arrière. Cela permet de voir son système de fixation et que la lunette, à l’arrière de la cabine, est dotée d’une grille de protection. Les feux arrière sont rapportés, en plastique, et correctement colorés. Même le bouchon du réservoir est rapporté. Le petit mobilier de la cabine est finement détaillé. Le soubassement est détaillé, avec une ligne d’échappement rapportée.  
4792GR Trabant 1-1 PU bleu 
 
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17 juillet 2013 3 17 /07 /juillet /2013 08:32
2013 CH43Mag NF mod
 
n° 15/415 du 22 juillet 2013
 
Mise au point – Contrairement à ce que j’ai écrit il y a quinze jours, dans le n° 13/413 de CH43 Mag, les deux voitures américaines présentées, resteront des collectors. En effet, il n’y aurait pas eu de suite à leur fabrication. C'est vraiment dommage. Il nous faudra certainement faire pression pour voir un jour une collection de modèles US en presse. Pourtant ce ne sont pas les moules qui manquent. Ne serait-ce qu’en raison de ceux réalisés pour la collection James Bond ou pour celle des taxis du monde. Voire encore des Voitures de rêve. Dont acte. Alors, préparons nous malgré tout pour la rentrée de septembre où d’autres choses nous seront proposées. Passez de bonnes vacances en attendant.
 

Modèles boutiques

RANGE ROVER Evoque 5 portes de 2011

Ixo – réf. MOC144P

 

Voila comme j’aime la voiture miniature ! Bon rendu des lignes et volumes de l’original. Belle livrée bordeaux métallisé et blanc, très réaliste. Bonne finition et présentation agréable, y compris pour le mobilier intérieur. Et le tout, enlevé pour moins de 35 euros. Et pour ce prix là, nous avons droit à une peinture métallisée au grain ultra fin ; à des monogrammes (à l’avant et à l’arrière) chromés et photodécoupés ; à une belle grille de calandre hyper réaliste ; et des optiques rapportées. De plus, de belles jantes alliage (dont le centre est frappé du monogramme Range Rover) laissent découvrir les disques de frein avec leurs étriers. Les pneus taille basse sont juste assez larges. Les poignées de portière sont rapportées. Et les deux belles sorties d’échappement chromées. De jolis feux arrière bien travaillés et une lunette arrière dotée de sa grille de désembuage, complètent le tableau. Le toit vitré permet de découvrir une très belle représentation du mobilier intérieur, composé de quatre sièges baquets à haut dossier, noirs et framboise. La planche de bord, la console centrale et le tunnel de servitude sont très détaillés, Tout comme l’habillage des contreportes. Le soubassement est détaillé. Bravo IXO.
4773GR Range-Rover Evoque r
 

RENAULT Captur de 2013

Norev – réf. Boitage Renault 77 11 575 085

  

Liminaire : Attention, le perçu de ce modèle à partir des photos ci-dessous n’est pas le même que lorsqu’il est devant vous directement. C’est pourquoi je vais surement choquer les lecteurs de ce blog, mais c’est bien la première fois que je ne suis pas parvenu à identifier nettement un modèle produit par Norev. Pourquoi ? Je n’arrive toujours pas à comprendre pourquoi je ne retrouve pas l’aspect trapu et ramassé de l’original. Au contraire, je perçois un modèle plutôt étiré. Cherchez l’erreur. Et pourtant cela fait déjà quelques jours qu’il est devant moi et je ne parviens toujours pas à l’associer à l’original. Je l’ai quand même placé à côté d’une 3008 pour voir s’il n’était pas trop long. Ce qui n’est pas le cas.

 

Aussi, sera-ce la première fois aussi où j’écrirai que l’on ne retrouve pas facilement les lignes, mais surtout, les volumes de l’original. J’en suis d’autant plus navré que ce modèle se trouve proposé à moins de 20 euros en boutiques, alors que Norev a plutôt tendance à proposer ses modèles aux environs de 40 euros ? Malgré ce prix bas, la finition est encore acceptable, mais sans plus, avec une face avant aux chromes seulement peints couleur alu, tout comme le large enjoliveur de bas de caisse où le bandeau ornant le hayon arrière. Le dessin des jantes est correct. Par contre, les rétroviseurs latéraux sont dépourvus de miroirs !?! Même peints ! Il n’y a que les coques ! Les feux arrière sont rapportés, en plastique rouge. Le mobilier intérieur est entièrement noir. Le soubassement est détaillé.
4776GR Renault Captur bleu
 

SIMCA Abarth 1300 (Le Mans 1962)

Equipage n° 62, Gianni Balzarini/Franz Albert (abandon au 30ème tour)

Ixo – réf. LMC148

 

Voici la version boutique de celle que l’on a connue, sous une livrée jaune canari, dans la collection des Monstres de l’endurance, n° 74 (cf. le n° 214 de Collec’Hebdo 43 daté du 14 septembre 2009). Comme l’autre, cette berlinette séduit par le bon rendu de ses lignes et volumes dans cette livrée bleu pâle aux couleurs de l’équipe nationale belge. Ce n’est pas surprenant puisqu’elle fait toujours appel au moule de celle proposée dans la collection Simca sous le n° 36 (cf. le n° 148 de Collec’Hebdo 43 daté du 09 juin 2008). Cette version boutique reçoit les bulles de protection des phares et un petit saute vent à la base du pare-brise. Lequel saute vent est ici peint comme le reste de la carrosserie. Outre l’unique essuie-glace, de petites attaches de sécurité sont placées sur le haut du capot avant. Les entourages des vitrages sont chromés. Le dessin des jantes alliage est fidèle. De petites bavettes sont placées derrière les roues arrière. Comme pour la version presse, l’ouverture du capot moteur présenté entrebaillé pour améliorer le refroidissement du moteur, n’est qu’illusion. Illusion accentuée par des traits de peinture alu simulant des tringles métalliques le maintenant soulevé. L’intérieur, tout noir, révèle malgré tout la présence de deux petits sièges baquets dotés de ceintures ventrales, d’un volant sport et de cadrans au tableau de bord. Le soubassement est peu gravé.
4774GR Simca-Abarth 1300 bl
 
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3 mai 2013 5 03 /05 /mai /2013 12:23
2013 CH43Mag NF mod
 
 n° 04/404 du 06 mai 2013
 

Spécial Premium Collectibles

 

FSR TARPAN 237 de 1976

IST Models – réf. IST11

 

D’emblée ce sont ses (grandes) dimensions qui sautent aux yeux une fois déballé. Et pourtant cet utilitaire polonais à vocation rurale est bien au 1/43ème. ET ses lignes coupées à la serpe sont très réalistes. Lignes et volumes sont donc au rendez-vous sous cette livrée rouge très fine. Livrée qui met très (trop) en valeur les différents joints de la carrosserie. Au point de mettre d’en mettre un en évidence alors que d’après des  photos trouvées sur le net, il n’existerait pas sur les vrais. Je veux parler du joint visible juste avant les passages de roues arrière. Le panneau semblant être d’un seul tenant de la portière avant au panneau arrière. Ceci étant, cela n’enlève rien à ce modèle qui bénéficie d’une finition soignée malgré sa rusticité. De très fins essuie-glaces photodécoupés agrémentent la base du pare-brise. Les coques des rétroviseurs extérieurs sont chromées. Tout comme l’entourage des vitrages des portières, vitrages en position ouverts des deux côtés. La large calandre noire est bien gravée et comporte en son centre l’écusson de la marque et est surmontée d’un peu discret monogramme Tarpan phototamponné. Les clignotants avant sont rapportés, en plastique orange. Par contre leurs répétiteurs latéraux ne sont que peints. Le dessin des jantes, bien que très simple, est fidèle. Il y a de très fines bavettes derrière les quatre roues. Le bouchon du réservoir est chromé. A l’arrière, c’est un peu le luxe pour ce modèle rural. Outre de beaux ensembles de feux verticaux, rapportés et bien colorés, il y a un très voyant monogramme Tarpan apposé sur l’abattant. Mais il faut relever le modèle pour découvrir la présence d’un feu de brouillard rouge et d’un feu de recul translucide, tous deux rapportés et en plastique, sous l’immatriculation. Le plateau est recouvert d’une jolie bâche collée. A l’intérieur de la cabine, le mobilier est entièrement noir. Mais il est cependant possible de découvrir qu’il est bien gravé et que six personnes peuvent y prendre places. Trois à l’arrière, sur une large banquette, et trois à l’avant, une banquette double remplaçant l’habituel siège du passager à côté de celui du conducteur. A noter que les boutons d’ancrage des ceintures de sécurité sont signalés d’un point de peinture alu à l’avant. Trois cadrans ornent le tableau de bord. Le soubassement est détaillé en quasi 3D.
4753GR FSR Tarpan rouge 
 

JAGUAR XKR-S (RHD) de 2010

Ixo – réf. MOC137P

 

Lorsque mon boutiquier préféré me l’a montrée, je me suis dit « encore une Jaguar » comme j’aurais dit « encore une Porsche », ou une Aston-Martin, tant ces voitures ont tendance à sa ressembler les unes, les autres, d’un modèle à l’autre. Et pourtant je l’ai prise malgré tout, vu le degré de sa finition. Rarement vu pour moins de 33 euros. Outre le respect des lignes et volumes, une livrée bordeaux métallisé au grain ultra fin, c’est sa présentation qui emporta la décision. A commencer par de très fins essuie-glaces rapportés en plastique noir, plaqués sur la base du pare-brise. Des blocs optiques au dessin franc encadrant une calandre boudeuse. Calandre, à la grille travaillée, qui arbore en son centre l’écusson Jaguar photodécoupé et chromé, accompagné du monogramme RS. Grille soulignée par un béquet façon carbone, du plus bel effet.  Les différentes entrées et sorties d’air sont suffisamment gravées ou soulignées de noir. Les vitrages sont tous très bien affleurants. Les coques des rétroviseurs latéraux reçoivent un trait de chrome et de « vrais » miroirs réfléchissants. Mine de rien les poignées des portières sont constituées par des pièces rapportées. Et les roues, me direz-vous ? Les roues sont très réussies avec de belles jantes alliage noires aux rayons légèrement cintrés avec, en leur centre, l’écusson à tête de Jaguar. Elles laissent voir de jolis disques de frein dotés d’étriers framboise frappés du monogramme Jaguar en lettres blanches. A l’arrière, la longue lunette est équipée d’une très fine grille de désembuage. Elle précède un large aileron, à lame façon carbone, qui domine la poupe de la voiture et recèle le troisième feu stop sous sa partie inférieure. Poupe où de larges feux arrière, rapportés en plastique, bien colorés, encadrent l’immatriculation dominée par un jaguar élancé, rapporté et chromé. Il en va de même pour les monogrammes XK et RS figurant en dessous. N’oublions le large diffuseur d’air d’où émergent quatre très belles sorties d’échappement très creuses et chromées. A l’intérieur, le mobilier, rendu peu visible par un vitrage intégral, mérite cependant que l’on cherche à le détailler. Bien qu’entièrement noir, il bénéficie de la reproduction des surpiquages rouges sur la planche de bord, le tunnel de servitude et les bords des sièges baquets. Planche de bord et console centrale sont très détaillées et les accessoires des contreportes soulignés d’un trait alu. Conduite à droite sur ce modèle. Le soubassement est du type à fond plat, sauf à l’extrême arrière.  Bravo pour cette qualité de présentation que j’aimerais revoir sur d’autres modèles. 
4754GR Jaguar XKR-S bordeau 
 

VOLVO Amazon 121 de 1959

PremiumX – réf. PRD229

  

Dans le n° 306 de CH43, daté du 20 juin 2011 je vous ai présenté l’Amazon 121 signée Minichamps. Voici aujourd’hui l’interprétation de cette même voiture par PremiumX. Si cette nouvelle Amazon 121 séduit elle aussi, d’emblée par sa présentation soignée, elle s’avère légèrement plus petite que sa devancière de quelques dixièmes de millimètre. Laquelle des deux est à la bonne échelle ? Lignes et volumes sont très fidèles et bénéficient d’une gravure très fine. De plus sa robe rouge à pavillon blanc cassé est des plus seyantes et réalistes. Sur cette voiture, les principaux chromes sont reproduits « en vrais », les autres par des traits de peinture alu. La double calandre est rapportée et bien gravée. Les ensembles veilleuses-clignotants sont bien en deux éléments, mais de même couleur. De très fins essuie-glaces photodécoupés sont placés juste au-dessus de la grille d’aération à la base du pare-brise. Ici, l’ensemble vitré est intégral, ce qui ne facilite pas la vue du mobilier intérieur.  Le monogramme Amazon, très fin, figure sur les ailes avant. Le dessin des jantes est réaliste mais le V de Volvo est difficile à découvrir au centre des enjoliveurs. Ce modèle est équipé de quatre très fines bavettes. Celles de l’arrière recevant le logo de l’époque, en V, de Volvo. Les feux arrière sont métalliques et peints. Le bouchon du réservoir est  chromé, tout comme le dispositif d’éclairage de la plaque arrière. Lequel n’est apparu d’au cours des 1960. Erreur de millésime ! A l’intérieur, le mobilier, blanc et noir, est bien reproduit. Belle planche de bord derrière un volant au cerclo avertisseur à la circonférence écrasée. A noter la reproduction du très long levier de vitesses. Mais attention : sur le modèle que j’ai acheté la gravure des contreportes correspond à la version 2 portes de l’Amazon.  Erreur d’assemblage sur ce modèle ou cas généralisé ? Il n’y a pas de commandes d’ouvertures des portières ni de manivelles pour abaisser les vitres ! Le soubassement n’est pas détaillé. 
4752GR Volvo 120 Amazon rou 
4752GS Volvo 120 Amazon rou 
 
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Published by Trebor Yles - dans Modèles boutiques