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 n° 29/429 du 28 octobre 2013

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 Modèles presse

Austin FX3 (taxi de Londres 1955)

Ixo/Altaya – collection des Taxis du monde, n° 30

Question préliminaire, puisque c’est à la mode de nos jours : pourquoi y a-t-il une portière avant gauche, devant l’emplacement réservé aux bagages ? Ceci étant demandé, nous retrouvons facilement les lignes et volumes surannés de ce taxi londonien. Sa finition est honnête avec de tout petits essuie-glaces noirs, rapportés en plastique. Les trois optiques ont des enjoliveurs chromés et sont correctement implantés. La grille de calandre est surmontée de l’écusson de la marque. Les lanternes placées sur les ailes avant sont rapportées et chromées, tout comme les deux rétroviseurs extérieurs. Celui placé sur l’aile avant gauche était-il vraiment efficace, si bas ?  Les enjoliveurs des roues sont frappés en leur centre d’un a rouge.  A l’arrière, les feux et les catadioptres ont été regroupés en deux pièces métallisées et peintes. Mais pourquoi avoir reproduit des clignotants sur la barre du pare-chocs alors que ceux-ci ne sont pas d’époque ? Puisque les bons sont ceux reproduits sur les cotés du pavillon. A noter que l’espace affecté aux bagages est détaillé, tout comme ceux destinés au chauffeur du taxi et à ses clients. Il y a même le dessin du taximètre sur la cloison vitrée de séparation intérieure. A l’arrière, les passagers disposent d’une large banquette reculée au-dessus du train arrière, mais aussi de deux sièges en vis-à-vis adossés à la cloison de séparation. Le soubassement n’est pas détaillé. 

 

 

DELAHAYE 165 V12 FIGONI & FALASCHI de 1938

Ixo/Altaya – collection des Voitures françaises d’autrefois, n° 44

Déjà proposée jadis (cf. le n° 33 de l’alors Collec’Hebdo 43, daté du 20 mars 2006) en version découverte cette 165 V12 carrossée par Figoni & Falaschi nous reviens aujourd’hui en version fermée. Mais aussi sous une livrée rouge sang, plus foncée que la première !?! A l’époque j’avaios écrit : «  Que dire de cette réduction par Ixo de cette voiture, sortie tout droit du délire de carrossiers de l’époque de l’insouciance qu’était l’entre de deux guerres. Une voiture digne des cartoons américains. A combien de mètres se trouvait le diamètre de braquage, pas loin de 20 m à mon avis avec ces passages de roues avant pleins. Ixo a bien restitué cette impression de démesures pour un modèle dont le châssis avait tout de même un empattement de 3,21 m. Dire qu’elle pouvait atteindre les 180 km/h !?! Et pour s’arrêter à cette vitesse la longueur des Champs ? Belle réalisation avec de nombreux chromes peints, une calandre finement dessinée, des pneus à flancs blancs, un arrière très chargé, contrastant avec une certaine sobriété de l’avant, et un habitacle crème avec une planche de bord et un volant en bois avec compteurs. L’intérieur crème se réduit à une simple banquette. » A part son coloris plus foncé, et la capote dépliée, nous retrouvons la même voiture et le même niveau de finition avec seulement une immatriculation à l’arrière. Les obus des phares sont chromés, tout comme la grille de calandre bien dessinée, ou encore le long sabre ornant l’arrière et les deux marchepieds permettant d’accéder à la banquette arrière. Le soubassement est sommairement  détaillé.

 

FIAT IVECO 619 de 1978

Ixo/Altaya – collection des Camions d’autrefois, n° 93

Il semblerait que cette collection commence à s’essouffler pour nous proposer un modèle quasi similaire au camion aux couleurs des bonbons du Pierrot gourmand, n° 27 (cf. le n° 274 de CH43, daté du 08 novembre 2010). Nous retrouvons en effet la même cabine et le même plateau, mais cette fois-ci non bâché. S’il est indiqué sur le fascicule qu’il s’agit d’un camion espagnol, pourquoi l’avoir doté de phares à ampoules jaunes ? Les lignes de la cabine sont très rectilignes ! Le pare-brise est bien balayé par trois essuie-glaces assez fins. La face avant présente l’immense calandre barrée en son milieu et surmontée du monogramme Fiat. Le pare-chocs intègre les phares rectangulaires et les clignotants… oranges. Ils devaient être encore blancs. Les marchepieds inférieurs sont bien présents alors que les passages de roues sont tous équipés de bavette arrière. Roues artillerie à l’avant et jumelées à l’arrière. Arrière supportant un plateau ouvert, précédé d’une avancée au-dessus de la cabine. Le mobilier de celle-ci se compose uniquement des deux sièges conducteur et passager derrière la planche de bord. Le châssis est standard et supporte les accessoires habituels. 

 

UNIC Izoard

Ixo/Hachette – collection hors série du Garage moderne, n° 02  

  Faute d’être arrivé jusque chez mon pressier , je ne pourrai vous le montrer! Pourtant j’avais trouvé et acheté le n° 01.

Additif du 26 octobre 2013

Grâce à un lecteur généreux, que je remercie publiquement ici, je suis enfin en mesure de vous le présenter. Ce deuxième hors série n’est autre qu’un ZU Izoard à plateau bâché que nous avons déjà connu dans la collection des camions d’autrefois (n° 03, cf. le n° 222 de l’alors Collec’Hebdo 43, daté du 09 novembre 2009), sous les couleurs de l’alimentation pour bétail Sanders. Aujourd’hui il est aux couleurs du fabricant du fameux VéloSolex. Il jouit de la même finition des plus honorables. Du nanan pour les yeux ! Superbe ! Comme je l’écrivais une première fois. C’est vrai que la reproduction de ce camion est une réussite, quelque soit sa livrée. Lignes et volumes sont bien présents au rendez-vous.. Nous nous trouvons en présence d’un modèle très réussi. Il suffit pour s’en convaincre d’examiner en détails l’ensemble capot-cabine dont la gravure est fidèle, avec ses phares colorés juste comme il faut. La cabine peu profonde offre cependant trois places face à une planche de bord des plus sommaires mais ou trône un tableau de bord complet surplombant un pédalier bien travaillé. Le châssis est classique.